Le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier ledit protocole a été présenté et adopté hier lors du Conseil des ministre. Ce projet vient ainsi renforcer son arsenal pour la lutte contre la corruption.
A la suite de son accession à la magistrature suprême, le chef de l’Etat a clairement indiqué sa ferme conviction de combattre la corruption pour, disait-il, «instaurer la bonne gouvernance dans le pays ». joignant l’acte à la parole, le chef de l’Etat a porté sur les fonts baptismaux l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal (Ofnac) et instauré la déclaration du patrimoine pour tous les gestionnaires de deniers publics et les présidents d’institutions.
En effet, c’est le 21 décembre 2001 que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a adopté, à Dakar, le protocole A/P3/12/01 portant sur la lutte contre la corruption. Si nombre de pays ont ratifié ce texte, le prédécesseur du Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, n’a pas jugé nécessaire de passer à l’acte. Hier, lors de la réunion du Conseil des ministres,
A la suite de son accession à la magistrature suprême, le chef de l’Etat a clairement indiqué sa ferme conviction de combattre la corruption pour, disait-il, «instaurer la bonne gouvernance dans le pays ». joignant l’acte à la parole, le chef de l’Etat a porté sur les fonts baptismaux l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal (Ofnac) et instauré la déclaration du patrimoine pour tous les gestionnaires de deniers publics et les présidents d’institutions.
En effet, c’est le 21 décembre 2001 que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a adopté, à Dakar, le protocole A/P3/12/01 portant sur la lutte contre la corruption. Si nombre de pays ont ratifié ce texte, le prédécesseur du Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, n’a pas jugé nécessaire de passer à l’acte. Hier, lors de la réunion du Conseil des ministres,