La présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), Seynabou Ndiaye Diakhaté a souhaité lundi l’adhésion des différentes couches notamment la société civile, les journalistes, les populations pour lutter efficacement contre la corruption.
« La lutte contre la corruption doit être une affaire de tous. C’est une lutte qui demande l’adhésion des différentes couches notamment la société civile, les journalistes, les populations », a déclaré lundi, Seynabou Ndiaye Diakhaté, en marge de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre la corruption tenue à Dakar.
Selon elle, la lutte contre la corruption ne peut être effective que si ces différents acteurs s’impliquent et en font une affaire d’être d’intérêt général. En plus de cela, elle fait savoir que : « La déclaration de patrimoine est un élément majeur dans la lutte contre la corruption ».
Par contre précise-t-elle, des séances de sensibilisations sont nécessaires pour mener à bien cette tâche, car la question de la déclaration de patrimoine n’est pas trop comprise par les Sénégalais.
Pour Ousmane Khouma, professeur de droit à l’UCAD, « la lutte contre corruption ne doit pas seulement être incriminée dans le secteur public, elle doit également être incriminée dans le secteur privé ». Il a appelé à « l’adoption des dispositions pour protéger davantage les informateurs et les témoignes et intérioriser la lutte contre la corruption dans les pratiques citoyennes en termes de civismes ».
Placée sous le thème : « communautés économiques et régionales (CER) acteurs essentiels de la mise en œuvre de la convention de l’union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption », cette journée est une occasion de revenir sur les obstacles que rencontrent les différents organes de cette lutte. Aussi, sera-t-elle l’occasion de faire des recommandations qui pourront aider à avancer.
« La lutte contre la corruption doit être une affaire de tous. C’est une lutte qui demande l’adhésion des différentes couches notamment la société civile, les journalistes, les populations », a déclaré lundi, Seynabou Ndiaye Diakhaté, en marge de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre la corruption tenue à Dakar.
Selon elle, la lutte contre la corruption ne peut être effective que si ces différents acteurs s’impliquent et en font une affaire d’être d’intérêt général. En plus de cela, elle fait savoir que : « La déclaration de patrimoine est un élément majeur dans la lutte contre la corruption ».
Par contre précise-t-elle, des séances de sensibilisations sont nécessaires pour mener à bien cette tâche, car la question de la déclaration de patrimoine n’est pas trop comprise par les Sénégalais.
Pour Ousmane Khouma, professeur de droit à l’UCAD, « la lutte contre corruption ne doit pas seulement être incriminée dans le secteur public, elle doit également être incriminée dans le secteur privé ». Il a appelé à « l’adoption des dispositions pour protéger davantage les informateurs et les témoignes et intérioriser la lutte contre la corruption dans les pratiques citoyennes en termes de civismes ».
Placée sous le thème : « communautés économiques et régionales (CER) acteurs essentiels de la mise en œuvre de la convention de l’union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption », cette journée est une occasion de revenir sur les obstacles que rencontrent les différents organes de cette lutte. Aussi, sera-t-elle l’occasion de faire des recommandations qui pourront aider à avancer.