Le secrétaire d’Etat à la Sécurité du royaume d’Espagne a réitéré l’engagement de son pays à accompagner le Sénégal dans le renforcement de sa sécurité. Outre la lutte contre l’émigration clandestine, qui constitue leur principal domaine d’intervention, les deux pays ont décidé d’élargir leur champ d’action. «Nous comptons à présent aider le Sénégal dans la lutte contre le banditisme transfrontalier, la lutte contre la drogue, la cybercriminalité et le terrorisme », affirme Francisco Martinez Vazquez.
Ce dernier qui a magnifié l’Etat de la coopération bilatérale entre les deux pays, estime que grâce à ce travail abattu à l’unisson, aucune pirogue en provenance du Sénégal n’a accosté sur les côtes des îles Canaries ces 5 dernières années. «Ceci justifie parfaitement les bons résultats obtenus dans le cadre de l’opération Frontex », ajoute le Secrétaire d’Etat.
Abdoulaye Daouda Diallo, dans les colonnes du journal « L’As », avoue que la lutte contre le terrorisme est devenue une préoccupation particulière pour l’Etat du Sénégal. Nous avons de longues frontières avec le Mali et la Mauritanie et par moments, nous oublions qu’avec la Mauritanie nous n’avons pas qu’une frontière fluviale. Nous avons aussi une frontière terrestre. Nous sommes donc obligés de travailler à la sécurisation de toutes ces frontières… », a estimé le ministre de l'Intérieur
Ce dernier qui a magnifié l’Etat de la coopération bilatérale entre les deux pays, estime que grâce à ce travail abattu à l’unisson, aucune pirogue en provenance du Sénégal n’a accosté sur les côtes des îles Canaries ces 5 dernières années. «Ceci justifie parfaitement les bons résultats obtenus dans le cadre de l’opération Frontex », ajoute le Secrétaire d’Etat.
Abdoulaye Daouda Diallo, dans les colonnes du journal « L’As », avoue que la lutte contre le terrorisme est devenue une préoccupation particulière pour l’Etat du Sénégal. Nous avons de longues frontières avec le Mali et la Mauritanie et par moments, nous oublions qu’avec la Mauritanie nous n’avons pas qu’une frontière fluviale. Nous avons aussi une frontière terrestre. Nous sommes donc obligés de travailler à la sécurisation de toutes ces frontières… », a estimé le ministre de l'Intérieur