Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions, c’est ce que prône Assane Sarr, adjoint au Sous-préfet de Pikine, banlieue dakaroise, qui pointe du doigt la main de l’homme. Il a invité ce mardi les populations à revoir les comportements pour lutter contre le phénomène, dont les conséquences sont néfastes.
« Dieu à bien fait les choses, mais c’est la main de l’homme qui transforme les choses déjà faites. Et cela a des effets négatifs surtout au niveau local. C’est la raison pour la quelle, avant de mettre en place projet, il faudrait qu’on fasse l’impact environnemental et social qui parfois fait défaut. C’est pourquoi j’ai dit que les changements climatiques sont en grande partie l’effet de l’homme », déplore Assane Sarr.
Selon l’autorité étatique, cet atelier auquel il a pris part est d’une importance capitale, parce qu’il sensibilise les citoyens sur les effets du changement climatique. De l’avis de l’adjoint au Sous-préfet de Pikine, lorsqu’on veut appréhender le réchauffement climatique, au niveau mondial, on risque de biaiser notre réflexion. Pour lui, il faut ramenons l’échelle de cette étude à Pikine pour voir qu’elles sont les activités au niveau cette ville, qui peuvent avoir des effets sur le climat, et quels sont leurs impacts
Assane Sarr, a également proposé l’aménagement de le technopole de Pikine. « Si Dakar a sa corniche-Est et que les gens peuvent se promener librement, pourquoi Pikine n’aurait pas son technopole où les gens peuvent se promener avec leurs enfants. Et que ça soit aménagé, protégé. Je crois que ça, c’est l’affaire de tous : l’Etat, les politiques, et de tous les citoyens qui sont là. Ce qui nous permet de protéger les deux technopoles qui aujourd’hui sont de plus en plus agressé par des privés », dit-il.
« Dieu à bien fait les choses, mais c’est la main de l’homme qui transforme les choses déjà faites. Et cela a des effets négatifs surtout au niveau local. C’est la raison pour la quelle, avant de mettre en place projet, il faudrait qu’on fasse l’impact environnemental et social qui parfois fait défaut. C’est pourquoi j’ai dit que les changements climatiques sont en grande partie l’effet de l’homme », déplore Assane Sarr.
Selon l’autorité étatique, cet atelier auquel il a pris part est d’une importance capitale, parce qu’il sensibilise les citoyens sur les effets du changement climatique. De l’avis de l’adjoint au Sous-préfet de Pikine, lorsqu’on veut appréhender le réchauffement climatique, au niveau mondial, on risque de biaiser notre réflexion. Pour lui, il faut ramenons l’échelle de cette étude à Pikine pour voir qu’elles sont les activités au niveau cette ville, qui peuvent avoir des effets sur le climat, et quels sont leurs impacts
Assane Sarr, a également proposé l’aménagement de le technopole de Pikine. « Si Dakar a sa corniche-Est et que les gens peuvent se promener librement, pourquoi Pikine n’aurait pas son technopole où les gens peuvent se promener avec leurs enfants. Et que ça soit aménagé, protégé. Je crois que ça, c’est l’affaire de tous : l’Etat, les politiques, et de tous les citoyens qui sont là. Ce qui nous permet de protéger les deux technopoles qui aujourd’hui sont de plus en plus agressé par des privés », dit-il.
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