Plus que partout ailleurs dans le monde, le virus du sida continue de faire planer sur l’ensemble du continent africain le spectre de la mort. D'après un rapport de l'Onusida, le Programme des Nations unies pour le sida (PDF), la maladie y a fait 1,3 million de décédés, des orphelins par centaines de milliers, et six jeunes de moins de 25 ans y sont contaminés chaque minute.
Ce, s’ajoutent à la large panoplie des désastres provoqués en Afrique subsaharienne par le virus, depuis les premiers cas de VIH enregistrés en 1981.
Aujourd’hui, 70% des séropositifs vit dans cette partie du monde, soit environ 25 millions de personnes. De fait, le continent demeure la région la plus affectée, même si l’Onusida, depuis son rapport publié en novembre 2010, ne cesse de mettre en avant «une stabilisation des nouvelles infections au VIH». La pandémie s’est stabilisée au Nigeria, et parmi les pays les plus touchés, quatre (Ethiopie, Afrique du Sud, Zambie et Zimbabwe) ont réussi à faire baisser de 25% le nombre de nouvelles infections depuis 2001.
Des avancées notables
L'essentiel des contaminations se fait par des rapports sexuels non protégés, et les Africains, pudiques, ont souvent honte de cette maladie. Mais, de plus en plus, les personnes infectées apprennent à vivre avec le virus et les autres à changer de regard sur les séropositifs. L’une des principales raisons expliquant ce changement de perception sur le VIH et le sida, c’est la mobilisation tous azimuts dans la lutte contre la pandémie.
Dans la plupart des pays de l’Afrique subsaharienne, il existe un Comité national de lutte contre la maladie, lequel agit de concert avec les nombreuses associations et autres ONG qui se multiplient. Les pouvoirs publics et la société civile, appuyés par des bailleurs de fonds et des organismes internationaux, ont mis en place divers programmes de prévention et de sensibilisation.Lire la suite sur slateafrique
Ce, s’ajoutent à la large panoplie des désastres provoqués en Afrique subsaharienne par le virus, depuis les premiers cas de VIH enregistrés en 1981.
Aujourd’hui, 70% des séropositifs vit dans cette partie du monde, soit environ 25 millions de personnes. De fait, le continent demeure la région la plus affectée, même si l’Onusida, depuis son rapport publié en novembre 2010, ne cesse de mettre en avant «une stabilisation des nouvelles infections au VIH». La pandémie s’est stabilisée au Nigeria, et parmi les pays les plus touchés, quatre (Ethiopie, Afrique du Sud, Zambie et Zimbabwe) ont réussi à faire baisser de 25% le nombre de nouvelles infections depuis 2001.
Des avancées notables
L'essentiel des contaminations se fait par des rapports sexuels non protégés, et les Africains, pudiques, ont souvent honte de cette maladie. Mais, de plus en plus, les personnes infectées apprennent à vivre avec le virus et les autres à changer de regard sur les séropositifs. L’une des principales raisons expliquant ce changement de perception sur le VIH et le sida, c’est la mobilisation tous azimuts dans la lutte contre la pandémie.
Dans la plupart des pays de l’Afrique subsaharienne, il existe un Comité national de lutte contre la maladie, lequel agit de concert avec les nombreuses associations et autres ONG qui se multiplient. Les pouvoirs publics et la société civile, appuyés par des bailleurs de fonds et des organismes internationaux, ont mis en place divers programmes de prévention et de sensibilisation.Lire la suite sur slateafrique