Dans sa recherche de solutions structurelles aux inondations, l’Etat du Sénégal à travers la direction de la prévention et de la gestion des inondations (DPGI), a initié une étude dans le but de trouver des solutions structurelles aux inondations. Cette révélation est de Madické Cissé, directeur général de la DPGI. Monsieur Cissé s’adressait à l’agence de presse Sénégalaise à ce propos, lors de la cérémonie de lancement de l’étude, ce mardi à Dakar.
Toutefois, a rappelé Monsieur Cissé, « cette étude vient après celle de la cartographie des zones inondables de l’ensemble du territoire national ». Ainsi donc, d’après cette étude dont fait mention le directeur de la DPGI, vingt-neuf villes (29) étaient répertoriées comme étant inondables. Mais parmi celles-ci, il en résulte sept (7) zones qualifiées « d’extrême vulnérabilité ». Dakar-Tivaouane-Joal Touba-Diourbel ; Matam ; Kaolack-Kaffrine ; Tambacounda ; Kolda et Kédougou en font partie.
A en croire, Monsieur Cissé les données qui seront issues de cette étude serviront de bases de données. « Les données issues de cette cartographie vont servir de bases de données à cette nouvelle étude pour faire des propositions, élaborer des documents, des catalogues et solutions pour prévenir, gérer et atténuer les inondations », a-t-il expliqué.
Pour une durée de 22 mois, l’étude va coûter près de 2 milliards de francs Cfa. L’agence française de développement (AFD) en est le principal bailleur. Venue marquée sa présence à cette cérémonie, la chargé de mission à l’AFD, Madame Diane Grauvit, a fait savoir que ce travail entre dans le cadre « des enjeux liés aux inondations ».
Toutefois, a rappelé Monsieur Cissé, « cette étude vient après celle de la cartographie des zones inondables de l’ensemble du territoire national ». Ainsi donc, d’après cette étude dont fait mention le directeur de la DPGI, vingt-neuf villes (29) étaient répertoriées comme étant inondables. Mais parmi celles-ci, il en résulte sept (7) zones qualifiées « d’extrême vulnérabilité ». Dakar-Tivaouane-Joal Touba-Diourbel ; Matam ; Kaolack-Kaffrine ; Tambacounda ; Kolda et Kédougou en font partie.
A en croire, Monsieur Cissé les données qui seront issues de cette étude serviront de bases de données. « Les données issues de cette cartographie vont servir de bases de données à cette nouvelle étude pour faire des propositions, élaborer des documents, des catalogues et solutions pour prévenir, gérer et atténuer les inondations », a-t-il expliqué.
Pour une durée de 22 mois, l’étude va coûter près de 2 milliards de francs Cfa. L’agence française de développement (AFD) en est le principal bailleur. Venue marquée sa présence à cette cérémonie, la chargé de mission à l’AFD, Madame Diane Grauvit, a fait savoir que ce travail entre dans le cadre « des enjeux liés aux inondations ».
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