L’ancien ministre « du ciel et de la terre » refuse catégoriquement d’accueillir Alioune Tine dans sa cellule. Le célèbre détenu de Rebeuss évoque bon nombre de raisons pour expliquer son comportement. Karim Wade, selon nos confrères de « L’as » qui donnent l’information, estime qu’Alioune Tine doit passer par le même canal que tous les sénégalais qui souhaitent le voir au lieu de prétexter une visite officielle pour bifurquer.
L’ancien président de la RADDHO, précise toujours Karim Wade, est obligé de se rendre au niveau de la CREI s’il veut le voir. « S’il est chanceux, au bout de deux mois, il pourra obtenir un permis », a-t-il laissé entendre. Par ailleurs, à en croire des proches du fils d’Abdoulaye Wade, il est également reproché à M. Tine de n’avoir rien fait pour empêcher la « violation » des droits d’anciens pontes de la République. A cet effet, le refus du Sénégal de respecter la décision de la Cour de justice de la CEDEAO qui avait dit que la CREI est incompétente pour juger Karim Wade et le « silence » du président du Comité Sénégalais des Droits de l’Homme concernant l’interdiction de sortie qui frappe d’anciens pontes du régime libéral ont incité l’ancien ministre d’Etat à éconduire Alioune Tine.
Toutefois, joint par le journal, le défenseur des droits de l’Homme refuse de confirmer, d’infirmer ou de commenter l’information.
L’ancien président de la RADDHO, précise toujours Karim Wade, est obligé de se rendre au niveau de la CREI s’il veut le voir. « S’il est chanceux, au bout de deux mois, il pourra obtenir un permis », a-t-il laissé entendre. Par ailleurs, à en croire des proches du fils d’Abdoulaye Wade, il est également reproché à M. Tine de n’avoir rien fait pour empêcher la « violation » des droits d’anciens pontes de la République. A cet effet, le refus du Sénégal de respecter la décision de la Cour de justice de la CEDEAO qui avait dit que la CREI est incompétente pour juger Karim Wade et le « silence » du président du Comité Sénégalais des Droits de l’Homme concernant l’interdiction de sortie qui frappe d’anciens pontes du régime libéral ont incité l’ancien ministre d’Etat à éconduire Alioune Tine.
Toutefois, joint par le journal, le défenseur des droits de l’Homme refuse de confirmer, d’infirmer ou de commenter l’information.