Le projet de résolution sur la base des lois « Sada Ndiaye » du nom de l’initiateur pour « déposer » le président de l’Assemblée nationale, Macky Sall a été finalement déposé hier, mardi 4 novembre sur la table de l’Assemblée nationale, apprenait-on de sources concordantes. Plus d’une centaine de signatures ont été obtenues des élus libéraux et alliés. Le compte à rebours a donc commencé.
Le départ du perchoir de l’Assemblée nationale, de Macky Sall est désormais quasi-inéluctable, à moins que la main du Seigneur du monde, des choses et des êtres, des cieux et des abysses n’intervient pour sauver le maire de Fatick dont le départ du perchoir est ainsi programmé par ses propres frères. « Dieu préservez-moi de mes amis… » A moins donc d’un miracle dont le Créateur a le secret mais dont il se montre souvent très avare, le compte à rebours de son éviction est lancé.
Le projet de résolution qui a obtenu plus de cent signataires, confient des députés libéraux, a été finalement déposé hier, mardi 4 novembre ainsi que nous l’écrivions dans notre édition du même jour. La conférence des présidents qui statue sur sa recevabilité avant de l’envoyer à la commission des lois pour études devrait se réunir incessamment. La commission des lois qui héritera une fois l’onction de la conférence des présidents, le contraire serait ahurissant, devrait voir son rapport discuter par la plénière qui mettrait ainsi le bouquet final à l’hallali.
Le désormais ex-président de l’Assemblée nationale à en croire celui qui est encore son président de groupe parlementaire, Doudou Wade, aura ainsi tenu jusqu’au bout. Mais tant qu’à mourir, le désormais trois-ex (n° 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds), Premier ministre, président de l’Assemblée nationale) a réussi à se présenter comme une victime innocente du « Père- infanticide ».
Sa démarche a consisté à s’accrocher jusqu’au bout à son fauteuil et de ne pas démissionner ainsi que le lui ont suggéré « aimablement » plusieurs de ses frères de parti et souvent certains de ses proches, voire d’honnêtes citoyens heurtés par les misères qu’on lui faisait. Lui semblait indiquer qu’il revenait à ses « frères-contempteurs » dits libéraux d’assumer la responsabilité de sa déposition et de la rupture définitive. A l’allure où vont les choses, sa tactique paraît se relever payante. Renforcera-t-elle pour autant sa stratégie,-sa survie dans la jungle politique et surtout un rôle prépondérant,-cette tactique ? Rien de moins sur.
Le départ du perchoir de l’Assemblée nationale, de Macky Sall est désormais quasi-inéluctable, à moins que la main du Seigneur du monde, des choses et des êtres, des cieux et des abysses n’intervient pour sauver le maire de Fatick dont le départ du perchoir est ainsi programmé par ses propres frères. « Dieu préservez-moi de mes amis… » A moins donc d’un miracle dont le Créateur a le secret mais dont il se montre souvent très avare, le compte à rebours de son éviction est lancé.
Le projet de résolution qui a obtenu plus de cent signataires, confient des députés libéraux, a été finalement déposé hier, mardi 4 novembre ainsi que nous l’écrivions dans notre édition du même jour. La conférence des présidents qui statue sur sa recevabilité avant de l’envoyer à la commission des lois pour études devrait se réunir incessamment. La commission des lois qui héritera une fois l’onction de la conférence des présidents, le contraire serait ahurissant, devrait voir son rapport discuter par la plénière qui mettrait ainsi le bouquet final à l’hallali.
Le désormais ex-président de l’Assemblée nationale à en croire celui qui est encore son président de groupe parlementaire, Doudou Wade, aura ainsi tenu jusqu’au bout. Mais tant qu’à mourir, le désormais trois-ex (n° 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds), Premier ministre, président de l’Assemblée nationale) a réussi à se présenter comme une victime innocente du « Père- infanticide ».
Sa démarche a consisté à s’accrocher jusqu’au bout à son fauteuil et de ne pas démissionner ainsi que le lui ont suggéré « aimablement » plusieurs de ses frères de parti et souvent certains de ses proches, voire d’honnêtes citoyens heurtés par les misères qu’on lui faisait. Lui semblait indiquer qu’il revenait à ses « frères-contempteurs » dits libéraux d’assumer la responsabilité de sa déposition et de la rupture définitive. A l’allure où vont les choses, sa tactique paraît se relever payante. Renforcera-t-elle pour autant sa stratégie,-sa survie dans la jungle politique et surtout un rôle prépondérant,-cette tactique ? Rien de moins sur.