« Je suis confiant en ce qui concerne ma victoire dans les urnes, mais je suis préoccupé par la volonté du pouvoir de créer des contre-feux violents. Des milices privées auraient été recrutées pour agresser et cela me paraît inquiétant », signale le candidat.
En ce qui concerne les violences à l’issue du deuxième tour, le leader de l’Alliance pour la République (Apr) et candidat de la coalition « Benno Bokk Yakaar » se dit craintif. « Si le résultat des urnes n’est pas accepté, il risque d’y avoir des violences. Si Abdoulaye Wade ne reconnaît pas la légitimité du scrutin et refuse de quitter le pouvoir, nous entrerons en résistance légitime », martèle Macky au site « 20 minutes ».
Plus loin, il ajoute : « Quand on finance et distribue des gourdins et des armes blanches, il ne faut pas s’étonner que le camp d’en face réagisse. Nous ne serons pas responsables de la violence, mais nous y répondrons ».
Sur le doute de son financement par la France ou l’industriel Bolloré, Macky est catégorique et prend le camp de son adversaire, pour responsable de ces accusations. « Ce sont des accusations fausses et malhonnêtes, alimentées par le camp d’Abdoulaye Wade. Je n’ai aucun lien avec Bolloré que je ne connais même pas et je ne suis pas le candidat de la France. Cela fait quatre ans, depuis la création de l’Alliance pour la république (Apr, son parti), que je sillonne le pays de long en large, car j’ai compris que ce sont les citoyens de ce pays qui ont le pouvoir et qu’il faut les convaincre de nous le déléguer, ce ne sont donc pas des soutiens étrangers qui me porteront au pouvoir le 25 mars prochain ».
En ce qui concerne les violences à l’issue du deuxième tour, le leader de l’Alliance pour la République (Apr) et candidat de la coalition « Benno Bokk Yakaar » se dit craintif. « Si le résultat des urnes n’est pas accepté, il risque d’y avoir des violences. Si Abdoulaye Wade ne reconnaît pas la légitimité du scrutin et refuse de quitter le pouvoir, nous entrerons en résistance légitime », martèle Macky au site « 20 minutes ».
Plus loin, il ajoute : « Quand on finance et distribue des gourdins et des armes blanches, il ne faut pas s’étonner que le camp d’en face réagisse. Nous ne serons pas responsables de la violence, mais nous y répondrons ».
Sur le doute de son financement par la France ou l’industriel Bolloré, Macky est catégorique et prend le camp de son adversaire, pour responsable de ces accusations. « Ce sont des accusations fausses et malhonnêtes, alimentées par le camp d’Abdoulaye Wade. Je n’ai aucun lien avec Bolloré que je ne connais même pas et je ne suis pas le candidat de la France. Cela fait quatre ans, depuis la création de l’Alliance pour la république (Apr, son parti), que je sillonne le pays de long en large, car j’ai compris que ce sont les citoyens de ce pays qui ont le pouvoir et qu’il faut les convaincre de nous le déléguer, ce ne sont donc pas des soutiens étrangers qui me porteront au pouvoir le 25 mars prochain ».