Le président de la République Macky Sall a estimé lundi à Dakar que les questions africaines ne peuvent pas être réglées sans les Africains, lors de la réunion de la huitième rencontre ministérielle du comité des 10 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (C-10) sur la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies.
« Les questions africaines ne peuvent pas être réglées sans les Africains. La situation en Libye en est la parfaite illustration. C’est pourquoi se fut cas particulier. L’Union africain n’a de cesse de réclamer la nomination d’un envoyer spécial conjoint Organisation des nations unies (ONU), et l’Union Africaine (UA) pour aider au règlement de la crise Libyenne », soutient le président Sall.
Poursuivant ses propos, le chef de l’Etat de préciser qu’il nous faudra éviter toute initiative, ou démarche qui de nature à fragiliser l’unité et la cohésion du groupe africain. « Il est important que le groupe continue d’insister sur la nécessité de préserver l’inclusion et la transparence dans le processus de négociation au sein du groupe de travail de l’assemblée. Il est aussi juste que la position africaine réclame en cas de réforme du Conseil de sécurité, un statut unique pour tous les membres permanents », dit-il.
Sall a ajouté qu’« il est donc juste, et légitime de rendre le Conseil de Sécurité des Nations Unies plus inclusive dans sa composition, et plus démocratique dans son fonctionnement pour une meilleure gouvernance mondiale. Voilà les enjeux de la réforme pour l’Afrique ».
« A quelques semaines du 33e Sommet de l’Union Africain, cette réunion nous offre l’occasion propice de faire le point sur les négociations qui se déroule à New York sur la réforme du Conseil de Sécurité, et de faire rapport au sommet à Addis-Abeba », a déclaré Macky Sall.
L’assemblée ministérielle du Comité des chefs d’Etat et de gouvernement (C-10), instituée en 2005, est composée de 10 pays, à savoir l’Algérie, la Guinée Equatoriale, le Kenya, la Libye, la Namibie, l’Ouganda, la République du Congo, le Sénégal, la Sierra Leone et la Zambie, soit deux par sous-région.
Il a pour mandat de présenter, défendre et vulgariser la Position africaine commune (PAC) issue de la Déclaration de Syrte (Lybie) prévoyant l’octroi au continent de deux sièges permanents et deux sièges non permanents supplémentaires au Conseil de sécurité.
L’objectif principal visé à travers cette position est de "veiller à la réparation de l’injustice historique que représente l’absence de l’Afrique de cet organe au sein duquel les questions africaines sont prépondérantes".
« Les questions africaines ne peuvent pas être réglées sans les Africains. La situation en Libye en est la parfaite illustration. C’est pourquoi se fut cas particulier. L’Union africain n’a de cesse de réclamer la nomination d’un envoyer spécial conjoint Organisation des nations unies (ONU), et l’Union Africaine (UA) pour aider au règlement de la crise Libyenne », soutient le président Sall.
Poursuivant ses propos, le chef de l’Etat de préciser qu’il nous faudra éviter toute initiative, ou démarche qui de nature à fragiliser l’unité et la cohésion du groupe africain. « Il est important que le groupe continue d’insister sur la nécessité de préserver l’inclusion et la transparence dans le processus de négociation au sein du groupe de travail de l’assemblée. Il est aussi juste que la position africaine réclame en cas de réforme du Conseil de sécurité, un statut unique pour tous les membres permanents », dit-il.
Sall a ajouté qu’« il est donc juste, et légitime de rendre le Conseil de Sécurité des Nations Unies plus inclusive dans sa composition, et plus démocratique dans son fonctionnement pour une meilleure gouvernance mondiale. Voilà les enjeux de la réforme pour l’Afrique ».
« A quelques semaines du 33e Sommet de l’Union Africain, cette réunion nous offre l’occasion propice de faire le point sur les négociations qui se déroule à New York sur la réforme du Conseil de Sécurité, et de faire rapport au sommet à Addis-Abeba », a déclaré Macky Sall.
L’assemblée ministérielle du Comité des chefs d’Etat et de gouvernement (C-10), instituée en 2005, est composée de 10 pays, à savoir l’Algérie, la Guinée Equatoriale, le Kenya, la Libye, la Namibie, l’Ouganda, la République du Congo, le Sénégal, la Sierra Leone et la Zambie, soit deux par sous-région.
Il a pour mandat de présenter, défendre et vulgariser la Position africaine commune (PAC) issue de la Déclaration de Syrte (Lybie) prévoyant l’octroi au continent de deux sièges permanents et deux sièges non permanents supplémentaires au Conseil de sécurité.
L’objectif principal visé à travers cette position est de "veiller à la réparation de l’injustice historique que représente l’absence de l’Afrique de cet organe au sein duquel les questions africaines sont prépondérantes".