Le Président Macky Sall se dit prêt pour la lutte jusqu'à ce que le projet de loi soit adopté. Le chef de l’Etat reste plus que déterminé à instaurer le parrainage malgré les menaces de l’opposition. «Il est impératif de rationaliser les candidatures si on pourrait se retrouver avec plus de 200 candidats à la présidentielle, alors que les 47 listes aux législatives avaient coûté 18 milliards à l’Etat », dit-il lors de sa rencontre avec la communauté sénégalaise vivant au Togo, en marge de la conférence extraordinaire des chefs d’Etat de la CEDEAO.
Poursuivant ses propos, il assène : «Si un candidat ne peut pas avoir 1% de signatures, il n’a qu’à aller faire autre chose. On est prêt en tant qu’exécutif après des discussions depuis juillet. On va tout changer avant juin pour être en conformité avec les directives de la CEDEAO. Ils veulent bloquer l’élection, mais nous savons que gouverner, c’est prévoir. On applique la loi de la démocratie».
Pour le Président Sall, « en démocratie, tout le monde ne peut pas être au même pied. Comme d’ailleurs dans le sport, on ne peut pas se lever et intégrer la catégorie des poids lourds. Avec une pléthore de candidats pour 6,5 millions d’électeurs, il y aura des difficultés qu’on imputerait encore au gouvernement ».
Il prévient que « l’exécutif à fait son travail, il revient maintenant au peuple représenté par l’Assemblée nationale d’en décider». Selon lui, « personne ne sait ce que l’opposition veut, parce qu’elle manifeste sa désapprobation au texte, mais elle ne veut pas des négociations», rapporte « L’As ».
Poursuivant ses propos, il assène : «Si un candidat ne peut pas avoir 1% de signatures, il n’a qu’à aller faire autre chose. On est prêt en tant qu’exécutif après des discussions depuis juillet. On va tout changer avant juin pour être en conformité avec les directives de la CEDEAO. Ils veulent bloquer l’élection, mais nous savons que gouverner, c’est prévoir. On applique la loi de la démocratie».
Pour le Président Sall, « en démocratie, tout le monde ne peut pas être au même pied. Comme d’ailleurs dans le sport, on ne peut pas se lever et intégrer la catégorie des poids lourds. Avec une pléthore de candidats pour 6,5 millions d’électeurs, il y aura des difficultés qu’on imputerait encore au gouvernement ».
Il prévient que « l’exécutif à fait son travail, il revient maintenant au peuple représenté par l’Assemblée nationale d’en décider». Selon lui, « personne ne sait ce que l’opposition veut, parce qu’elle manifeste sa désapprobation au texte, mais elle ne veut pas des négociations», rapporte « L’As ».