Les mesures prises par le chef de l’Etat par rapport à l’augmentation des salaires ne doivent pas tombées dans l’oreille d'un sourd. Le Président Macky Sall a averti les membres de son Gouvernement de prendre leurs responsabilités. «Je l’ai dit au Gouvernement, celui qui prendra des engagements ailleurs, qu'il sache que c’est sur sa responsabilité», dit-il, à l’occasion de la cérémonie de remise de cahiers de doléances des syndicats, ce mercredi au palais de la République.
Se voulant plus clair, il précise : «Vous ne pouvez pas engager l’Etat sur ce qu'on ne vous a pas demandé de faire».
Selon le chef de l’Etat, « si nous continuons avec les revendications, en demandant d’augmenter les salaires, quand est-ce que nous allons donner du travail aux jeunes. Alors que nous avons chaque année plus de 150 mille jeunes sur le marché du travail qui n’ont pas de qualification. Des jeunes qu'il faut en plus former, leur donner du travail. C’est un choix qui n’est pas facile ».
Poursuivant ses propos, le président Sall indique, en face des membres de syndicats des travailleurs, que « l’Etat continuera à faire le partage de l’étude avec les syndicats. Nous avons la volonté sociale, mais nous ne pouvons pas engager ce que nous ne pouvons pas faire. L’augmentation des salaires, présentement, il n’est pas question d’y penser. Ça ne peut pas être. Ce n’est pas possible. Je le dis en face de vous. Nous n’avons pas les moyens d’augmenter les salaires aujourd’hui. Nous ne le ferons pas ».
Pour lui, « il y a le salaire, mais il y a la protection sociale, la retraite, toutes ses questions, nous devons en discuter. Travailler aussi pour le pouvoir d’achat. La baisse de l’impôt sur les salaires. Il faut savoir qu'il y a des limites. Ce n’est pas parce qu'on a peur de la grève qu'il faut s’engager sur des choses. Je crois que nous continuerons à travailler pour valider le pacte national de solidarité et d’émergence économique ».
Se voulant plus clair, il précise : «Vous ne pouvez pas engager l’Etat sur ce qu'on ne vous a pas demandé de faire».
Selon le chef de l’Etat, « si nous continuons avec les revendications, en demandant d’augmenter les salaires, quand est-ce que nous allons donner du travail aux jeunes. Alors que nous avons chaque année plus de 150 mille jeunes sur le marché du travail qui n’ont pas de qualification. Des jeunes qu'il faut en plus former, leur donner du travail. C’est un choix qui n’est pas facile ».
Poursuivant ses propos, le président Sall indique, en face des membres de syndicats des travailleurs, que « l’Etat continuera à faire le partage de l’étude avec les syndicats. Nous avons la volonté sociale, mais nous ne pouvons pas engager ce que nous ne pouvons pas faire. L’augmentation des salaires, présentement, il n’est pas question d’y penser. Ça ne peut pas être. Ce n’est pas possible. Je le dis en face de vous. Nous n’avons pas les moyens d’augmenter les salaires aujourd’hui. Nous ne le ferons pas ».
Pour lui, « il y a le salaire, mais il y a la protection sociale, la retraite, toutes ses questions, nous devons en discuter. Travailler aussi pour le pouvoir d’achat. La baisse de l’impôt sur les salaires. Il faut savoir qu'il y a des limites. Ce n’est pas parce qu'on a peur de la grève qu'il faut s’engager sur des choses. Je crois que nous continuerons à travailler pour valider le pacte national de solidarité et d’émergence économique ».
Autres articles
-
🔴 Direct - Lendemain des élections américaines : le triomphe de Trump va -t-il redessiner le monde ?
-
Violences dans la campagne électorale : Famara Ibrahima Cissé suspend ses activités
-
Journée des Forces armées : feu Médecin-Colonel Amadou Dia et Feu Général de Division Saliou Ndiaye honorés
-
#Législatives2024 : 9960 cartes d'électeurs disponibles au Commissariat de Dieupeul, les retraits se font en masse (Reportage)
-
Journée des forces armées: le Président Diomaye annonce un projet de loi dès l'installation de la prochaine Assemblée nationale