Les Sénégalais établis en chine, plus précisément dans la ville de Wuhan, n’ont toujours pas vu le soleil au levant. En tout cas, ils ne doivent pas compter sur l’Etat pour les soustraire de la menace du coronavirus ! Hélas, leurs cris de détresse en vue d’un rapatriement d’urgence pour échapper aux affres de cette épidémie sont tombés dans l’oreille d’un Etat impuissant. C’est ce qu’a laissé entendre lundi 03 février, le président de la République qui prenait la parole lors de la cérémonie de levée des couleurs au palais de la République.
« Nous sommes en contact avec eux par le canal du ministère des Affaires étrangères et notre ambassade à Beijing. Leur rapatriement requiert et demande une logistique tout à fait hors de portée du Sénégal. Puisqu’il faudrait des avions spéciaux qui puissent les amener sur place. Il faudrait du personnel différent de celui des compagnies aériennes. Peut-être du personnel militaire. Et lorsque ces personnes reviennent, il faudrait les mettre en quarantaine dans un lieu équipé en conséquence. Ce qui n’est pas le cas de notre pays pour le moment » a expliqué le chef de l’Etat Macky Sall, rapporté par le journal Le Témoin.
Toujours en réponse aux appels au secours des compatriotes vivant en Chine, singulièrement à Wuhan, le président de la République fait savoir que l’Etat a envoyé des appuis dans ce pays à l’aube d’un virus mortel. « Mais la question de rapatriement, j’avoue qu’elle n’est pas simple. Je voudrais dire que nous travaillons avec les autorités chinoises pour voir toute possibilité de les suivre de façon convenable. Même les grands pays qui ont pu faire des rapatriements l’ont réussi avec des difficultés », a- t-il soutenu pendant que le sentiment de vulnérabilité a fini d’envahir l’opinion dans un Etat censé être en mesure de protéger ses citoyens.
« Nous sommes en contact avec eux par le canal du ministère des Affaires étrangères et notre ambassade à Beijing. Leur rapatriement requiert et demande une logistique tout à fait hors de portée du Sénégal. Puisqu’il faudrait des avions spéciaux qui puissent les amener sur place. Il faudrait du personnel différent de celui des compagnies aériennes. Peut-être du personnel militaire. Et lorsque ces personnes reviennent, il faudrait les mettre en quarantaine dans un lieu équipé en conséquence. Ce qui n’est pas le cas de notre pays pour le moment » a expliqué le chef de l’Etat Macky Sall, rapporté par le journal Le Témoin.
Toujours en réponse aux appels au secours des compatriotes vivant en Chine, singulièrement à Wuhan, le président de la République fait savoir que l’Etat a envoyé des appuis dans ce pays à l’aube d’un virus mortel. « Mais la question de rapatriement, j’avoue qu’elle n’est pas simple. Je voudrais dire que nous travaillons avec les autorités chinoises pour voir toute possibilité de les suivre de façon convenable. Même les grands pays qui ont pu faire des rapatriements l’ont réussi avec des difficultés », a- t-il soutenu pendant que le sentiment de vulnérabilité a fini d’envahir l’opinion dans un Etat censé être en mesure de protéger ses citoyens.