C’est à Madagascar que la 42ème session de l’APF a été organisée. L’Assemblée parlementaire de la Francophonie est une structure consultative auprès de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Lundi prochain, ils seront 300 parlementaires, réunis, pour voter les programmes de coopération. En guise de préparation, vendredi, le Bureau permanent a choisi les thèmes à traiter.
« Je crois que pour nos frères francophones de Madagascar, c’est une forme de test grandeur nature parce que l’Assemblée parlementaire de la Francophonie est une sorte de corollaire à l’Organisation internationale de la Francophonie », a déclaré le président de l'Assemblée, Aubin Minaku Ndjalandjoko.
C’est ainsi une sorte de répétition générale du sommet de novembre, pour Madagascar, au cours de laquelle un sujet risque d'attirer l'attention. Au lendemain de l'adoption du Code de la communication, la liberté d'expression sera évidemment abordée, comme l'indique, Didier Berberat, président de la Commission de l'Education, de la Communication et des Affaires culturelles.
« Ce n’était pas à l’ordre du jour pace qu’au moment où nous l'avons fixé, ce n’était pas prévu. Mais cette loi nous inquiète parce que toute loi qui s’oppose à la liberté de la presse pose problème. Je pense qu’on va "thématiser" cela et je pense que cela débordera sur Madagascar. J’appelle vraiment de mes vœux à ce que l’on trouve une solution qui permette aux journalistes malgaches et aux journalistes du monde entier, en général, de pouvoir travailler en toute liberté. Mais liberté signifie aussi éthique et responsabilité », a tenu à souligner Didier Berberat
Responsabilité des journalistes, mais responsabilité, aussi, des parlementaires de cette 42ème session. Une position claire de la Francophonie, habituellement grand défenseur de la liberté de la presse et des opinions, est attendue ce week-end sur ce sujet.
Source: Rfi.fr
« Je crois que pour nos frères francophones de Madagascar, c’est une forme de test grandeur nature parce que l’Assemblée parlementaire de la Francophonie est une sorte de corollaire à l’Organisation internationale de la Francophonie », a déclaré le président de l'Assemblée, Aubin Minaku Ndjalandjoko.
C’est ainsi une sorte de répétition générale du sommet de novembre, pour Madagascar, au cours de laquelle un sujet risque d'attirer l'attention. Au lendemain de l'adoption du Code de la communication, la liberté d'expression sera évidemment abordée, comme l'indique, Didier Berberat, président de la Commission de l'Education, de la Communication et des Affaires culturelles.
« Ce n’était pas à l’ordre du jour pace qu’au moment où nous l'avons fixé, ce n’était pas prévu. Mais cette loi nous inquiète parce que toute loi qui s’oppose à la liberté de la presse pose problème. Je pense qu’on va "thématiser" cela et je pense que cela débordera sur Madagascar. J’appelle vraiment de mes vœux à ce que l’on trouve une solution qui permette aux journalistes malgaches et aux journalistes du monde entier, en général, de pouvoir travailler en toute liberté. Mais liberté signifie aussi éthique et responsabilité », a tenu à souligner Didier Berberat
Responsabilité des journalistes, mais responsabilité, aussi, des parlementaires de cette 42ème session. Une position claire de la Francophonie, habituellement grand défenseur de la liberté de la presse et des opinions, est attendue ce week-end sur ce sujet.
Source: Rfi.fr
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