Il faut ensemencer les nuages pour influencer les précipitations, mais beaucoup de conditions sont requises, explique Stéphason Kotomangazafy, le directeur de la Météorologie appliquée à Madagascar : « Il faut tout d’abord des nuages appropriés et on procède à la provocation. C’est la création de ce qu’on entend par ‘’noyau de condensation’’, c’est-à-dire une particule qui accélère la formation des gouttelettes d’eau. Et après la formation des gouttelettes d’eau, c’est la précipitation. »
Dix millions d’ariarys
À chaque opération à cause de l’avion, il faut compter 10 millions d’ariarys, pris en charge par les différents ministères concernés. Au-delà de son coût, les précipitations restent aléatoires et il faut s’y prendre à plusieurs reprises.
Une solution de dernier recours pour Stéphason Kotomangazafy : « La première opération amène à l’enrichissement en humidité de l’atmosphère et la deuxième opération conduit à la première chute de précipitations. Et ainsi de suite pour la troisième et quatrième, pourquoi pas la cinquième, et après tout cela la source se réalimente. »
Pour la capitale aussi
Les prochaines pluies artificielles auront lieu le 6, 7, 8 décembre dans le Sud et une autre est prévue courant décembre pour la capitale.
Dix millions d’ariarys
À chaque opération à cause de l’avion, il faut compter 10 millions d’ariarys, pris en charge par les différents ministères concernés. Au-delà de son coût, les précipitations restent aléatoires et il faut s’y prendre à plusieurs reprises.
Une solution de dernier recours pour Stéphason Kotomangazafy : « La première opération amène à l’enrichissement en humidité de l’atmosphère et la deuxième opération conduit à la première chute de précipitations. Et ainsi de suite pour la troisième et quatrième, pourquoi pas la cinquième, et après tout cela la source se réalimente. »
Pour la capitale aussi
Les prochaines pluies artificielles auront lieu le 6, 7, 8 décembre dans le Sud et une autre est prévue courant décembre pour la capitale.