Le bois de rose fait l'objet d'un juteux trafic.
Ce doit être une étape importante pour l’avenir du bois de rose. Car si à Madagascar ce bois précieux, très dur, au cœur rosé et légèrement parfumé est déjà réglementé, -sa coupe, son transport et son exportation sont interdits depuis 2010-, il reste surexploité.
Mais avec son inscription à l’annexe II de la CITES, il sera mieux surveillé, mieux protégé, assure Nanie Ratsifandrihamanana, directrice de la conservation au sein du WWF (World Wide Fund for Nature) :
« Ce qui va changer c’est que les pays importateurs sont maintenant censés appliquer un contrôle. Ce qui veut dire qu’un pays comme la Chine, ses autorités savent maintenant que ce sont des produits interdits à l’exportation et elles devraient participer donc au contrôle, à la saisie, au rapatriement des espèces. C’est un message très fort aux trafiquants ».
Car le bois de rose fait, en effet, l’objet d’un juteux trafic. Depuis le nord-est de la Grande Ile, des rondins sont régulièrement exportés illégalement en direction de la Chine, avide de ce bois qu’elle considère comme l’un des plus précieux au monde. Il est aussi l’un des plus chers.
La stricte réglementation prise il y a trois ans n’a pas découragé les trafiquants. Au contraire, selon les autorités malgaches, depuis, l’exportation du bois de rose s’est intensifiée.
Source : Rfi.fr
Mais avec son inscription à l’annexe II de la CITES, il sera mieux surveillé, mieux protégé, assure Nanie Ratsifandrihamanana, directrice de la conservation au sein du WWF (World Wide Fund for Nature) :
« Ce qui va changer c’est que les pays importateurs sont maintenant censés appliquer un contrôle. Ce qui veut dire qu’un pays comme la Chine, ses autorités savent maintenant que ce sont des produits interdits à l’exportation et elles devraient participer donc au contrôle, à la saisie, au rapatriement des espèces. C’est un message très fort aux trafiquants ».
Car le bois de rose fait, en effet, l’objet d’un juteux trafic. Depuis le nord-est de la Grande Ile, des rondins sont régulièrement exportés illégalement en direction de la Chine, avide de ce bois qu’elle considère comme l’un des plus précieux au monde. Il est aussi l’un des plus chers.
La stricte réglementation prise il y a trois ans n’a pas découragé les trafiquants. Au contraire, selon les autorités malgaches, depuis, l’exportation du bois de rose s’est intensifiée.
Source : Rfi.fr