Béatrice Atallah, la présidente de la Cénit.
Alors qu’à Fort Dauphin ses craintes sont devenues réalité, la Cénit a décidé d’alerter. Car cela fait plusieurs semaines que des informations inquiètent Thierry Venty, le directeur de cabinet de la présidente de la Commission. Selon lui, on tenterait de perturber le processus électoral, de répéter par exemple le scenario de Fort Dauphin, là, où des disques durs contenant les listes électorales ont été volés :
« Tout ce que l’on sait c'est que la base de la Cénit a été touchée alors qu’il y avait autre chose à prendre que des disque durs internes. Pourquoi toucher à ces informations maintenant ? Notre analyse est que ceux qui ne veulent pas vraiment avancer dans le processus électoral, ont intérêt à ce que les infrastructures de la Cénit soient ralenties de la même manière ».
Mais outre le retard, ce que craint la Commission, ce sont les doutes sur le processus électoral. Thierry Venty déclare : « Notre risque, le plus grand actuellement, c’est que les politiciens ne soient pas rassurés de l’intégrité de l’élection qui va se passer, qu’il y ait donc des contestations , des problèmes post-électoraux ».
Source : Rfi.fr
« Tout ce que l’on sait c'est que la base de la Cénit a été touchée alors qu’il y avait autre chose à prendre que des disque durs internes. Pourquoi toucher à ces informations maintenant ? Notre analyse est que ceux qui ne veulent pas vraiment avancer dans le processus électoral, ont intérêt à ce que les infrastructures de la Cénit soient ralenties de la même manière ».
Mais outre le retard, ce que craint la Commission, ce sont les doutes sur le processus électoral. Thierry Venty déclare : « Notre risque, le plus grand actuellement, c’est que les politiciens ne soient pas rassurés de l’intégrité de l’élection qui va se passer, qu’il y ait donc des contestations , des problèmes post-électoraux ».
Source : Rfi.fr