Dans son communiqué, la Haute Cour Constitutionnelle se dit aujourd’hui en mesure de faire appliquer l’article 46 de la Constitution, selon lequel, le pouvoir par intérim revient au président du Sénat.
Mais l’ancien chef de la Chambre haute, Herimanana Razafimahefa, en poste au moment où le président sortant Andry Rajoelina devait céder le pouvoir, n’a pas finalement pas assuré cet intérim : il y a deux semaines, Herimanana Razafimahefa, a assuréavoir été contraint d’y renoncer après avoir été la cible de menaces de conseillers du président sortant. Une version contestée par les sénateurs de son propre clan.
Après ses révélations, Herimanana Razafimahefa avait finalement demandé à la Haute cour Constitutionnelle de diriger le pays par intérim. Ce revirement, considéré comme « incohérent » avait alors conduit à sa destitution comme président du Sénat. Le général Ravaolomana avait pris sa place deux jours plus tard après avoir été élu à l'unanimité le 13 octobre à la présidence du Sénat.
Dans sa décision rendue ce vendredi, la Haute Cour Constitutionnelle assure que le gouvernement collégial, qui dirigeait jusqu'alors le pays par intérim, n’a émis aucune objection en vue de transférer le pouvoir au général Ravalomanana.
Mais l’ancien chef de la Chambre haute, Herimanana Razafimahefa, en poste au moment où le président sortant Andry Rajoelina devait céder le pouvoir, n’a pas finalement pas assuré cet intérim : il y a deux semaines, Herimanana Razafimahefa, a assuréavoir été contraint d’y renoncer après avoir été la cible de menaces de conseillers du président sortant. Une version contestée par les sénateurs de son propre clan.
Après ses révélations, Herimanana Razafimahefa avait finalement demandé à la Haute cour Constitutionnelle de diriger le pays par intérim. Ce revirement, considéré comme « incohérent » avait alors conduit à sa destitution comme président du Sénat. Le général Ravaolomana avait pris sa place deux jours plus tard après avoir été élu à l'unanimité le 13 octobre à la présidence du Sénat.
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