Une vente illégale de tortues via le réseau social Facebook en janvier dernier avait été découverte par l'alliance Vohary Gasy. Après des mois d'enquête, cette plateforme des organisations environnementales malgache a organisé un guet-apens, en collaboration avec la gendarmerie et la direction régionale de l'environnement.
Fin septembre, l'équipe a donné rendez-vous à quatre individus dans un hôtel de la capitale. Les trafiquants s'apprêtaient à leur vendre 200 (en fait 198) bébés tortues radiata à 250 dollars pièce. Des animaux endémiques braconnés dans le sud de la Grande Ile qui peuvent se vendre jusqu'à 10 000 dollars à l'étranger.
Ndranto Razakamanarina, président de l'Alliance Vohary Gasy s'est dit scandalisé par la remise en liberté provisoire obtenue par deux des cinq personnes impliquées dans ce trafic.
De son côté, la procureure de la République à Antananarivo, Odette Razafintsoa a déclaré être « très étonnée » par la décision de la chambre d'accusation de la cour d'appel. Le premier président de cette cour restait quant à lui, injoignable par téléphone.
Fin septembre, l'équipe a donné rendez-vous à quatre individus dans un hôtel de la capitale. Les trafiquants s'apprêtaient à leur vendre 200 (en fait 198) bébés tortues radiata à 250 dollars pièce. Des animaux endémiques braconnés dans le sud de la Grande Ile qui peuvent se vendre jusqu'à 10 000 dollars à l'étranger.
Ndranto Razakamanarina, président de l'Alliance Vohary Gasy s'est dit scandalisé par la remise en liberté provisoire obtenue par deux des cinq personnes impliquées dans ce trafic.
De son côté, la procureure de la République à Antananarivo, Odette Razafintsoa a déclaré être « très étonnée » par la décision de la chambre d'accusation de la cour d'appel. Le premier président de cette cour restait quant à lui, injoignable par téléphone.