Le Syndicat national des travailleurs du nettoiement affiche sa solidarité avec les concessionnaires du nettoiement qui sont en grève pour réclamer des arriérés de salaires avoisinant les 7 milliards de francs CFA puisque, martèle-t-il, «tout travail mérite salaire».
En effet, de l’avis de Madani Sy, même si le syndicat qu’il dirige n’est pas en grève, leur travail est paralysé d’autant plus qu’ils n’ont pas les moyens de transporter les ordures sans la logistique dont les propriétaires observent justement un mouvement d’humeur.
M. Sy, r qui déplore la négligence dont ce secteur est victime, demande à l’Etat d’organiser des états généraux du nettoiement. D’autant plus que, avec cette grève qui vient de débuter, «7800 tonnes d’ordures» jonchent les rues de la capitale sénégalaise.
«Aujourd’hui c’est le seul secteur qui est négligé. On ne peut pas concevoir qu’avec un budget de 17 milliards de francs CFA, qu’on nous dise avant octobre que ce budget est épuisé. Ces disfonctionnements n’honorent pas ce pays. Aujourd’hui, il y a plus de 7800 tonnes d’ordures qui ont envahi la capitale. C’est une catastrophe. Nous interpellons l’Etat du Sénégal pour qu’il y ait les états généraux du nettoiement, qu’il y ait un schéma directeur pour pérenniser cette gestion dans le temps et dans l’espace», affirme-t-il.
Avant de conclure : «Cette gestion informelle du nettoiement doit être révolue. Nous demandons aux autorités de recevoir tous les acteurs du nettoiement».
En effet, de l’avis de Madani Sy, même si le syndicat qu’il dirige n’est pas en grève, leur travail est paralysé d’autant plus qu’ils n’ont pas les moyens de transporter les ordures sans la logistique dont les propriétaires observent justement un mouvement d’humeur.
M. Sy, r qui déplore la négligence dont ce secteur est victime, demande à l’Etat d’organiser des états généraux du nettoiement. D’autant plus que, avec cette grève qui vient de débuter, «7800 tonnes d’ordures» jonchent les rues de la capitale sénégalaise.
«Aujourd’hui c’est le seul secteur qui est négligé. On ne peut pas concevoir qu’avec un budget de 17 milliards de francs CFA, qu’on nous dise avant octobre que ce budget est épuisé. Ces disfonctionnements n’honorent pas ce pays. Aujourd’hui, il y a plus de 7800 tonnes d’ordures qui ont envahi la capitale. C’est une catastrophe. Nous interpellons l’Etat du Sénégal pour qu’il y ait les états généraux du nettoiement, qu’il y ait un schéma directeur pour pérenniser cette gestion dans le temps et dans l’espace», affirme-t-il.
Avant de conclure : «Cette gestion informelle du nettoiement doit être révolue. Nous demandons aux autorités de recevoir tous les acteurs du nettoiement».