Après Moustapha Diakhaté, Cathy Cissé Wane se "querelle" avec Aïda Mbodj. L’adoption du projet de loi faisant du Magal un jour férié, chômé et payé ne s’est pas déroulé dans le calme plat. Des échanges vifs entre Aïda Mbodj et Cathy Cissé Wone ont précédé le vote de la loi. L’ancienne vice-présidente de l’Assemblée Cathy Cissé Wone a déploré que les propositions de loi soient rangées dans les tiroirs de l’Assemblée nationale alors que les projets de loi sont expédiés dès leur arrivée. Pour elle l’initiative parlementaire doit être traitée de la même manière que celle provenant de l’exécutif.
Le parlementaire issue de la société civile pense par ailleurs qu’il est plus judicieux qu’une commission nationale comprenant toutes les sensibilités religieuses, politiques et du patronat et des syndicats soit mise sur pied pour réfléchir et établir, de manière consensuelle, tous les jours fériés. Le fait de regretter que l’initiative parlementaire n’est pas été privilégiée a été considéré par certains parlementaires « qui ne comprennent rien » comme une critique en filigrane contre Moustapha Niasse qui l’a évincée de son poste de membre du bureau, lors du dernier renouvellement du bureau de l’Assemblée.
« Pourquoi ne l’avez-vous pas dit lorsque vous étiez membre du bureau ? C’est maintenant parce que Moustapha Niasse vous a déchue de votre poste que vous l’attaquez ? », réplique la mairesse de Bambey, Aïda Mbodj qui indique le journal « L’As », se mue à la surprise générale en défenseur de Niasse. Cathy Cissé Wone, très calme, a préféré prendre de la hauteur en rétorquant : « Je n’est cité aucun nom. Et se faire l’avocat de diable est un exercice périlleux ».
Le parlementaire issue de la société civile pense par ailleurs qu’il est plus judicieux qu’une commission nationale comprenant toutes les sensibilités religieuses, politiques et du patronat et des syndicats soit mise sur pied pour réfléchir et établir, de manière consensuelle, tous les jours fériés. Le fait de regretter que l’initiative parlementaire n’est pas été privilégiée a été considéré par certains parlementaires « qui ne comprennent rien » comme une critique en filigrane contre Moustapha Niasse qui l’a évincée de son poste de membre du bureau, lors du dernier renouvellement du bureau de l’Assemblée.
« Pourquoi ne l’avez-vous pas dit lorsque vous étiez membre du bureau ? C’est maintenant parce que Moustapha Niasse vous a déchue de votre poste que vous l’attaquez ? », réplique la mairesse de Bambey, Aïda Mbodj qui indique le journal « L’As », se mue à la surprise générale en défenseur de Niasse. Cathy Cissé Wone, très calme, a préféré prendre de la hauteur en rétorquant : « Je n’est cité aucun nom. Et se faire l’avocat de diable est un exercice périlleux ».