En conférence de presse, vendredi, tard dans la nuit, les agents frappés par cet arrêté municipal ont condamné ce qu’ils considèrent comme une « décision arbitraire » de l’actuelle équipe municipale. Très en verve, leur porte-parole a vivement déploré cette situation pénible et désagréable dans laquelle ils se trouvent. Ils invitent ainsi le maire à revenir à la raison pour sauver ces pères et mères de famille qui risquent de se retrouver au chômage en perdant leur emploi.
« Nous voulons proclamer la fin des harcèlements et les récriminations au niveau de la commune », a déclaré le président du mouvement «Wallou N'Dar », Zair Fall. Abondant dans le même sens, l’association jeunesse responsable et Engagée de Saint-Louis (JERES) a, elle aussi, dénoncé cette « décision injuste » dont sont victimes des centaines de travailleurs Saint-Louisiens.
Interpelée sur la question, l’adjointe au maire, Mme Aïda Mbaye Dieng, dans les colonnes du journal « Libération », souligne que la mairie agit ainsi à fin de pouvoir assainir ce domaine des temporaires qui selon elle, ne coûte pas moins de 15 millions de F CFA par mois à l’institution municipale. « Le maire ne peut plus supporter tout ce poids et a décidé de suspendre leurs activités durant ces trois jours pour mieux se pencher sur leur sort. Ils sont plus nombreux que les agents réguliers », a-t-elle fait savoir.
« Nous voulons proclamer la fin des harcèlements et les récriminations au niveau de la commune », a déclaré le président du mouvement «Wallou N'Dar », Zair Fall. Abondant dans le même sens, l’association jeunesse responsable et Engagée de Saint-Louis (JERES) a, elle aussi, dénoncé cette « décision injuste » dont sont victimes des centaines de travailleurs Saint-Louisiens.
Interpelée sur la question, l’adjointe au maire, Mme Aïda Mbaye Dieng, dans les colonnes du journal « Libération », souligne que la mairie agit ainsi à fin de pouvoir assainir ce domaine des temporaires qui selon elle, ne coûte pas moins de 15 millions de F CFA par mois à l’institution municipale. « Le maire ne peut plus supporter tout ce poids et a décidé de suspendre leurs activités durant ces trois jours pour mieux se pencher sur leur sort. Ils sont plus nombreux que les agents réguliers », a-t-elle fait savoir.