L’âge et les antécédents sont les facteurs de risque cardiovasculaire
Docteur Aïda Iyane Thiam, Médecin Chef au Centre de Santé de Grand Dakar a soutenu que l’âge et les antécédents sont les facteurs de risque cardiovasculaire. Pour elle, parmi les risques cardiovasculaires, il y a des risques que l’on peut modifier, et d’autres que l’on ne peut pas modifier.
« Lorsque nous recevons un patient, ce que nous faisons, c’est d’évaluer son risque cardiovasculaire. Parmi les risques cardiovasculaires, il y a des risques que l’on peut modifier, et d’autres que l’on ne peut pas modifier. Parmi ce qu’on ne peut pas modifier, il y a l’âge et les antécédents. Si on dit qu’un homme a un risque cardiovasculaire à partir de 45 ans, ce que nous ne pouvons pas modifier c’est son âge. Un homme qui a 45 ans, et une femme qui a 55 ans, ont un facteur de risque cardiovasculaire. Une personne qui a un parent qui a fait un AVC avant 45 ans, ou qui a fait une crise cardiaque avant 45 ans à un facteur de risque cardiovasculaire. L’âge et les antécédents sont les facteurs de risque cardiovasculaire », a soutenu Docteur Aida Iyane Thiam.
Poursuivant ses propos, la blouse blanche d’ajouter : « Il y a des facteurs de risque que nous pouvons modifier. Si par exemple la sédentarité, quelqu’un qui ne fait pas du tout du sport, ou qui reste dans son bureau du matin au soir, quelqu’un, qui mange trop du sel, un tabagique, un hypertendu, un diabétique ont tous des facteurs de risque cardiovasculaire. En fonction du nombre de risques qu’a le patient, il a un pourcentage de risque de faire un événement vasculaire (crise cardiaque AVC, ou en tout cas un phénomène vasculaire dans les 10 ans) ».
Parlant de la prévention, Docteur Thiam conseille les patients qui ont un risque telle que la sédentarité, « de pratiquer une activité physique régulière. Pour les hypertendus, on leur dira de surveiller leur hypertension artérielle. Et pour les tabagique, il est important d’arrêter ».
Le fait d'avoir une crise cardiaque augmente le taux de mortalité ou de morbidité
Le fait d'avoir une crise cardiaque augmente le taux de mortalité ou de morbidité. « Si on a un haut risque, on a 10 % de chance de faire un événement vasculaire dans les 10 ans, si je ne me trompe pas. Le fait d’avoir une crise cardiaque, ou un AVC, si cela n’augmente pas le taux de mortalité, ça augmente le taux de morbidité » dit-elle. À entendre Docteur Aïda Iyane Thiam, « quelqu’un qui a une crise cardiaque n’a plus toutes ses capacités. En termes de productivité, quelqu’un qui a un AVC ne peut plus faire, ce qu’il faisait s’il ne récupère pas totalement ».
Maladie cardiovasculaire et Covid19
Dans le contexte actuel de covid-19, Docteur Aïda Iyane Thiam constate l’absence des patients en général hypertendus au rendez-vous. Selon elle, ces derniers sont décompensés. Mais ce qu’il faut dire, ce que ces patients sont plus aptes à faire une forme grave de Covid.
« Dans le contexte actuel de covid-19, ce qu’on a vu, ce sont des patients en général hypertendus qui ne sont pas venus au rendez-vous. Ils sont décompensés, ou-bien qui, ont laissé leur traitement, pensant qu’il y avait une interférence entre Covid et certains médicaments. Mais ce qu’il faut dire, c’est que ces patients sont plus aptes à faire une forme grave de Covid. Mais l’hypertension ne potentialise pas forcément Covid. Ce qu’il faut dire, ce que les hypertendus ou diabétiques sont plus apte à faire de forme grave de covid ».
Docteur Aïda Iyane Thiam, Médecin Chef au Centre de Santé de Grand Dakar a soutenu que l’âge et les antécédents sont les facteurs de risque cardiovasculaire. Pour elle, parmi les risques cardiovasculaires, il y a des risques que l’on peut modifier, et d’autres que l’on ne peut pas modifier.
« Lorsque nous recevons un patient, ce que nous faisons, c’est d’évaluer son risque cardiovasculaire. Parmi les risques cardiovasculaires, il y a des risques que l’on peut modifier, et d’autres que l’on ne peut pas modifier. Parmi ce qu’on ne peut pas modifier, il y a l’âge et les antécédents. Si on dit qu’un homme a un risque cardiovasculaire à partir de 45 ans, ce que nous ne pouvons pas modifier c’est son âge. Un homme qui a 45 ans, et une femme qui a 55 ans, ont un facteur de risque cardiovasculaire. Une personne qui a un parent qui a fait un AVC avant 45 ans, ou qui a fait une crise cardiaque avant 45 ans à un facteur de risque cardiovasculaire. L’âge et les antécédents sont les facteurs de risque cardiovasculaire », a soutenu Docteur Aida Iyane Thiam.
Poursuivant ses propos, la blouse blanche d’ajouter : « Il y a des facteurs de risque que nous pouvons modifier. Si par exemple la sédentarité, quelqu’un qui ne fait pas du tout du sport, ou qui reste dans son bureau du matin au soir, quelqu’un, qui mange trop du sel, un tabagique, un hypertendu, un diabétique ont tous des facteurs de risque cardiovasculaire. En fonction du nombre de risques qu’a le patient, il a un pourcentage de risque de faire un événement vasculaire (crise cardiaque AVC, ou en tout cas un phénomène vasculaire dans les 10 ans) ».
Parlant de la prévention, Docteur Thiam conseille les patients qui ont un risque telle que la sédentarité, « de pratiquer une activité physique régulière. Pour les hypertendus, on leur dira de surveiller leur hypertension artérielle. Et pour les tabagique, il est important d’arrêter ».
Le fait d'avoir une crise cardiaque augmente le taux de mortalité ou de morbidité
Le fait d'avoir une crise cardiaque augmente le taux de mortalité ou de morbidité. « Si on a un haut risque, on a 10 % de chance de faire un événement vasculaire dans les 10 ans, si je ne me trompe pas. Le fait d’avoir une crise cardiaque, ou un AVC, si cela n’augmente pas le taux de mortalité, ça augmente le taux de morbidité » dit-elle. À entendre Docteur Aïda Iyane Thiam, « quelqu’un qui a une crise cardiaque n’a plus toutes ses capacités. En termes de productivité, quelqu’un qui a un AVC ne peut plus faire, ce qu’il faisait s’il ne récupère pas totalement ».
Maladie cardiovasculaire et Covid19
Dans le contexte actuel de covid-19, Docteur Aïda Iyane Thiam constate l’absence des patients en général hypertendus au rendez-vous. Selon elle, ces derniers sont décompensés. Mais ce qu’il faut dire, ce que ces patients sont plus aptes à faire une forme grave de Covid.
« Dans le contexte actuel de covid-19, ce qu’on a vu, ce sont des patients en général hypertendus qui ne sont pas venus au rendez-vous. Ils sont décompensés, ou-bien qui, ont laissé leur traitement, pensant qu’il y avait une interférence entre Covid et certains médicaments. Mais ce qu’il faut dire, c’est que ces patients sont plus aptes à faire une forme grave de Covid. Mais l’hypertension ne potentialise pas forcément Covid. Ce qu’il faut dire, ce que les hypertendus ou diabétiques sont plus apte à faire de forme grave de covid ».