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Crise au nord du mali : un véhicule explose près d’un camp français à Kidal Jeudi 21 février 2013. A Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako. Un "véhicule est arrivé en filant vers le sud-ouest" de la ville et "a explosé à environ 500 mètres du camp occupé par les Français et les Tchadiens
Le bilan des combats d’hier entre l’armée malienne et les combattants du MNLA a été très lourd du côté des rebelles touaregs qui ont au moins perdu 10 combattants, 28 d’entre eux faits prisonniers par les soldats maliens qui ne déplorent que deux blessés dont un grièvement.
Les combats d’hier entre l’armée malienne et les combattants du MNLA ont causé beaucoup de pertes en vie humaine du côté des rebelles. Le porte-parole de l’armée malienne, Souleymane Maïga, a déclaré que « dans les rangs du MNLA, nous avons dénombré dix morts et avons fait 28 prisonniers. De notre côté, on n’a déploré aucun mort au cours de ces combats dans la zone d’Anefis ».
Le MNLA fuit la ville de Kidal, Gamou veut continuer sa marche
Selon toujours, le lieutenant-colonel Maïga, « les forces maliennes continuent leur progression en direction de Kidal. Mais je ne peux pas confirmer qu’elles prendront Kidal aujourd’hui, mais pour l’instant, la priorité est de sécuriser et de renforcer notre position ».
Ces informations ont été confirmé par le colonel Didier Dacko, chef des opérations militaires de l’armée malienne dans le Nord sur la télévision nationale. « L’armée a enregistré deux blessés, dont un touché au cou par balle. Anefis est complètement sous notre protection. On est entré à Anefis. Des éléments armés ont tiré sur nous et nous avons riposté pendant deux heures de temps. Ils ont préféré laisser les lieux. On n’a pas encore fait le point (complet) de la situation », a expliqué le colonel Dacko sur l’ORTM. Avant d’ajouter que « Mais pour le moment, on a compté quatre véhicules récupérés, un véhicule détruit. (…) De notre côté, pas de matériel détruit ».
Une source sécuritaire régionale jointe par l’AFP mercredi en début d’après-midi a indiqué qu’un bataillon de l’armée malienne était à environ 35 km de Kidal. De même source, les éléments du MNLA ont fui la ville.
Le bataillon est commandé par le colonel El Hadj Ag Gamou, un Touareg resté loyal à l’armée malienne. Environ 200 soldats français restent stationnés à l’aéroport de la ville de Kidal.
Abdoulaye Diakité
Les combats d’hier entre l’armée malienne et les combattants du MNLA ont causé beaucoup de pertes en vie humaine du côté des rebelles. Le porte-parole de l’armée malienne, Souleymane Maïga, a déclaré que « dans les rangs du MNLA, nous avons dénombré dix morts et avons fait 28 prisonniers. De notre côté, on n’a déploré aucun mort au cours de ces combats dans la zone d’Anefis ».
Le MNLA fuit la ville de Kidal, Gamou veut continuer sa marche
Selon toujours, le lieutenant-colonel Maïga, « les forces maliennes continuent leur progression en direction de Kidal. Mais je ne peux pas confirmer qu’elles prendront Kidal aujourd’hui, mais pour l’instant, la priorité est de sécuriser et de renforcer notre position ».
Ces informations ont été confirmé par le colonel Didier Dacko, chef des opérations militaires de l’armée malienne dans le Nord sur la télévision nationale. « L’armée a enregistré deux blessés, dont un touché au cou par balle. Anefis est complètement sous notre protection. On est entré à Anefis. Des éléments armés ont tiré sur nous et nous avons riposté pendant deux heures de temps. Ils ont préféré laisser les lieux. On n’a pas encore fait le point (complet) de la situation », a expliqué le colonel Dacko sur l’ORTM. Avant d’ajouter que « Mais pour le moment, on a compté quatre véhicules récupérés, un véhicule détruit. (…) De notre côté, pas de matériel détruit ».
Une source sécuritaire régionale jointe par l’AFP mercredi en début d’après-midi a indiqué qu’un bataillon de l’armée malienne était à environ 35 km de Kidal. De même source, les éléments du MNLA ont fui la ville.
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Abdoulaye Diakité
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