Ibrahim Boubacar Keïta continue les consultations en vue de la formation de son premier gouvernement. REUTERS/Joe Penney
Pour être informé des grands dossiers en instance, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) a désigné deux de ses proches : Oumar Tatam Ly, un fonctionnaire malien de la Banque centrales des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO ) et Cheick Diarra, un ancien diplomate malien aux Etats-Unis. Les deux travaillent actuellement ensemble, notamment avec le secrétaire général de la présidence Ousmane Sy, pour une passation de pouvoir en douceur.
Parallèlement, le nouveau président élu continue les consultations en vue de la formation de son premier gouvernement. « Ce ne sera pas un partage de gateau », a-t-il prévenu. Certains sont inquiets. Ils n'arrivent plus à joindre IBK et à défaut du chef, à en croire la presse malienne, c'est son fils Karim Keïta, qu'on appelle.
Il ne reste plus que dix jours avant l'investiture du président Keïta. L'équipe sortante gère pour le moment les affaires courantes. Plus de nominations en principe. Le ministre malien de l'Administration territoriale, qui envisageait de parler avec la classe politique de la date des futures législatives, abandonne son projet et remet la copie en poche.
Et enfin, pour son dernier Conseil des ministres cette semaine, l'actuel gouvernement pourrait annoncer la dissolution du CNRDRE [le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'État, ndlr], l'instance créée par les militaires putschistes du 22 mars 2012.
Source : Rfi.fr
Parallèlement, le nouveau président élu continue les consultations en vue de la formation de son premier gouvernement. « Ce ne sera pas un partage de gateau », a-t-il prévenu. Certains sont inquiets. Ils n'arrivent plus à joindre IBK et à défaut du chef, à en croire la presse malienne, c'est son fils Karim Keïta, qu'on appelle.
Il ne reste plus que dix jours avant l'investiture du président Keïta. L'équipe sortante gère pour le moment les affaires courantes. Plus de nominations en principe. Le ministre malien de l'Administration territoriale, qui envisageait de parler avec la classe politique de la date des futures législatives, abandonne son projet et remet la copie en poche.
Et enfin, pour son dernier Conseil des ministres cette semaine, l'actuel gouvernement pourrait annoncer la dissolution du CNRDRE [le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'État, ndlr], l'instance créée par les militaires putschistes du 22 mars 2012.
Source : Rfi.fr
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