Pour la deuxième fois Moussa Mara est candidat à la présidentielle malienne de juillet prochain. Il explique pourquoi à RFI:
« Pour essayer de panser les plaies de notre pays, plaies ouvertes par des luttes politiques des cinquante dernières années, par des rébellions successives, par un fonctionnement étatique, qui au lieu de protéger et d’aider les plus faibles, a plutôt brimé, frustré et insatisfait les Maliens. Donc, essayer de cicatriser les plaies de notre pays, d’unir les Maliens, car sans unité on ne peut pas s’en sortir ».
L’ancien Premier ministre du président Ibrahim Boubacar Keïta (avril 2014-janvier 2015) revient sur leur collaboration. « Le couple n’a pas fonctionné, manifestement, puisque j’ai été démis de mes fonctions de Premier ministre neuf mois après avoir commencé. Mais aujourd’hui cela n’est pas le plus important. C’est : qu’est-ce que nous devons poser comme actes ».
A 43 ans, ce jeune ambitieux dévoile, avant même l’ouverture de la campagne présidentielle, son programme :
« Le renouvellement et le rajeunissement de la classe politique et le leadership de notre pays, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption des élites, une décente réalisation effective et l’accroissement des revenus des plus pauvres, qui sont majoritaires au Mali ».
Pour lui, il n’y a aucun doute. Il est l’homme de l’avenir.
RFI
« Pour essayer de panser les plaies de notre pays, plaies ouvertes par des luttes politiques des cinquante dernières années, par des rébellions successives, par un fonctionnement étatique, qui au lieu de protéger et d’aider les plus faibles, a plutôt brimé, frustré et insatisfait les Maliens. Donc, essayer de cicatriser les plaies de notre pays, d’unir les Maliens, car sans unité on ne peut pas s’en sortir ».
L’ancien Premier ministre du président Ibrahim Boubacar Keïta (avril 2014-janvier 2015) revient sur leur collaboration. « Le couple n’a pas fonctionné, manifestement, puisque j’ai été démis de mes fonctions de Premier ministre neuf mois après avoir commencé. Mais aujourd’hui cela n’est pas le plus important. C’est : qu’est-ce que nous devons poser comme actes ».
A 43 ans, ce jeune ambitieux dévoile, avant même l’ouverture de la campagne présidentielle, son programme :
« Le renouvellement et le rajeunissement de la classe politique et le leadership de notre pays, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption des élites, une décente réalisation effective et l’accroissement des revenus des plus pauvres, qui sont majoritaires au Mali ».
Pour lui, il n’y a aucun doute. Il est l’homme de l’avenir.
RFI
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