Un véhicule de l’armée malienne a sauté jeudi sur une mine entre les localités de Douentza et Hombori. Il y a au moins deux morts, a indiqué cette source.
On soupçonne fortement les islamistes d’avoir posé cette mine. C’est arrivé dans une zone qu’ils contrôlaient. Mais on ne sait pas encore si elle avait été posée avant leur départ ou s’ils sont revenus depuis pour la poser, a-t-elle ajouté.
Hombori, situé entre Mopti et Gao, à 920 km au nord-est de Bamako, a été reprise sans combats le 25 janvier par une colonne de soldats français et maliens. Douentza, sur la même route, à 800 km de la capitale, l’avait été le 21 janvier.
Les militaires français ont fait part à plusieurs reprises de leur vigilance à l’égard d’éventuelles mines ou bombes artisanales, que les islamistes auraient pu dissimuler avant de prendre la fuite.
C’est à Hombori que deux Français, en voyage d’affaires selon leurs proches, ont été enlevés en novembre 2011. Un rapt revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Sept otages français sont retenus par des groupes islamistes au Sahel.
Ils seraient aujourd’hui probablement dans la région de Kidal, dans l’extrême nord-est du Mali, près de la frontière algérienne, selon les autorités françaises.
On soupçonne fortement les islamistes d’avoir posé cette mine. C’est arrivé dans une zone qu’ils contrôlaient. Mais on ne sait pas encore si elle avait été posée avant leur départ ou s’ils sont revenus depuis pour la poser, a-t-elle ajouté.
Hombori, situé entre Mopti et Gao, à 920 km au nord-est de Bamako, a été reprise sans combats le 25 janvier par une colonne de soldats français et maliens. Douentza, sur la même route, à 800 km de la capitale, l’avait été le 21 janvier.
Les militaires français ont fait part à plusieurs reprises de leur vigilance à l’égard d’éventuelles mines ou bombes artisanales, que les islamistes auraient pu dissimuler avant de prendre la fuite.
C’est à Hombori que deux Français, en voyage d’affaires selon leurs proches, ont été enlevés en novembre 2011. Un rapt revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Sept otages français sont retenus par des groupes islamistes au Sahel.
Ils seraient aujourd’hui probablement dans la région de Kidal, dans l’extrême nord-est du Mali, près de la frontière algérienne, selon les autorités françaises.