Au Mali, les partis politiques et associations membres de l’alliance dénommée Action républicaine pour le progrès (ARP) ne se reconnaissent plus dans l’actuel regroupement de la majorité présidentielle, Ensemble pour le Mali (EPM).
« Il est nécessaire aujourd’hui pour passer à l’étape suivante de la stabilisation, de la réalisation des réformes que des identités s’affirment dans la cohérence, explique Tiéman Hubert Coulibaly, ancien ministre malien des Affaires étrangères et président en exercice de l’ARP. Nous recherchons la cohérence, nous recherchons de l’efficacité, et c’est dans cela que nous situons notre action ».
Pour soutenir efficacement le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) et son Premier ministre, Boubou Cissé, l’ARP évoque les priorités du moment. « Les grandes questions politiques qui ne concernent pas seulement le nord du Mali, mais aussi le centre, et même le sud, des questions sociales qui méritent d’être traitées et faire en sorte que le gouvernement puisse être en meilleure posture afin d’y apporter des réponses, tout cet agenda nécessite beaucoup plus d’efficacité et nécessite beaucoup plus de cohérence », ajoute Tiéman Hubert Coulibaly.
La nouvelle alliance attend de nouvelles adhésions ce 8 juin et a déjà signé, peu après sa création, un accord politique avec le Premier ministre.
« Il est nécessaire aujourd’hui pour passer à l’étape suivante de la stabilisation, de la réalisation des réformes que des identités s’affirment dans la cohérence, explique Tiéman Hubert Coulibaly, ancien ministre malien des Affaires étrangères et président en exercice de l’ARP. Nous recherchons la cohérence, nous recherchons de l’efficacité, et c’est dans cela que nous situons notre action ».
Pour soutenir efficacement le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) et son Premier ministre, Boubou Cissé, l’ARP évoque les priorités du moment. « Les grandes questions politiques qui ne concernent pas seulement le nord du Mali, mais aussi le centre, et même le sud, des questions sociales qui méritent d’être traitées et faire en sorte que le gouvernement puisse être en meilleure posture afin d’y apporter des réponses, tout cet agenda nécessite beaucoup plus d’efficacité et nécessite beaucoup plus de cohérence », ajoute Tiéman Hubert Coulibaly.
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