
Le secrétaire des Nations unies, Ban Ki-moon, veut une «force parallèle» pour combattre les extrémistes islamistes.
Ban Ki-moon prévient : une force de maintien de la paix au Mali ne pourra pas remplacer l’armée française. Les casques bleus, dit-il, n’ont pas « l’expérience, ni l’équipement » pour faire du contre-terrorisme. Ce type de missions, estime Ban Ki-moon, n’entre pas dans la doctrine des Nations unies.
Selon l’ONU, même si l’ensemble du territoire malien est repris, les groupes armés, comme Aqmi, al-Qaïda au Maghreb islamique, le Mujao, Mouvement pour l'unité et le jihad en Afrique de l'Ouest,,et Ansar Dine continueront d’être une menace sérieuse et les casques bleus feront face à des attaques.
Le secrétaire général de l’ONU préconise donc une mission de 11 200 hommes, principalement des soldats africains de l’Afisma qui devra être appuyée d’une « force parallèle », chargée de combattre les groupes extrémistes. Aucune précision sur cette force. Ban Ki-moon pense évidemment à la France.
Les diplomates français ont, jusqu’ici, affirmé que les soldats français ne resteront pas au Mali, mais n’ont pas exclu de conserver des unités basées dans un pays voisin pour intervenir rapidement.
Source : Rfi.fr
Selon l’ONU, même si l’ensemble du territoire malien est repris, les groupes armés, comme Aqmi, al-Qaïda au Maghreb islamique, le Mujao, Mouvement pour l'unité et le jihad en Afrique de l'Ouest,,et Ansar Dine continueront d’être une menace sérieuse et les casques bleus feront face à des attaques.
Le secrétaire général de l’ONU préconise donc une mission de 11 200 hommes, principalement des soldats africains de l’Afisma qui devra être appuyée d’une « force parallèle », chargée de combattre les groupes extrémistes. Aucune précision sur cette force. Ban Ki-moon pense évidemment à la France.
Les diplomates français ont, jusqu’ici, affirmé que les soldats français ne resteront pas au Mali, mais n’ont pas exclu de conserver des unités basées dans un pays voisin pour intervenir rapidement.
Source : Rfi.fr
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