« Il s’agit, pour ce qui est de ce point (la situation au Mali), de rétablir sans délai l’autorité de l’État malien sur l’ensemble de son territoire, d’en finir avec les groupes terroristes et criminels actifs sur le terrain », a déclaré Jean Ping.
Le président de la Commission de l’UA a également indiqué qu’il faut « répondre, dans le strict cadre des principes de l’UA, aux causes structurelles de la récurrence de la rébellion dans cette partie du Mali ».
Le nord du Mali est occupé par des groupes islamistes armés, Ansar Dine et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest (MUJAO), non sans compter la rébellion sécessionniste du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA).
Les chefs d’Etat ouest africains sont réunis à Yamoussoukro pour « évaluer l’évolution du processus de transition au Mali et en Guinée-Bissau et prendre d’autres initiatives pour éviter notamment un enlisement de la situation au Mali », a indiqué le président ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO à l’ouverture de la réunion.
La CEDEAO a condamné avec fermeté les coups de force dans ces deux pays et instauré des processus de transition de 12 mois au terme desquels des élections présidentielles doivent être organisées pour un retour à l’ordre constitutionnel au Mali et en Guinée-Bissau.
Elle a déployé des éléments en Guinée-Bissau et espère une résolution de l’Onu pour une intervention militaire au Mali.
French.news
Le président de la Commission de l’UA a également indiqué qu’il faut « répondre, dans le strict cadre des principes de l’UA, aux causes structurelles de la récurrence de la rébellion dans cette partie du Mali ».
Le nord du Mali est occupé par des groupes islamistes armés, Ansar Dine et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest (MUJAO), non sans compter la rébellion sécessionniste du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA).
Les chefs d’Etat ouest africains sont réunis à Yamoussoukro pour « évaluer l’évolution du processus de transition au Mali et en Guinée-Bissau et prendre d’autres initiatives pour éviter notamment un enlisement de la situation au Mali », a indiqué le président ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO à l’ouverture de la réunion.
La CEDEAO a condamné avec fermeté les coups de force dans ces deux pays et instauré des processus de transition de 12 mois au terme desquels des élections présidentielles doivent être organisées pour un retour à l’ordre constitutionnel au Mali et en Guinée-Bissau.
Elle a déployé des éléments en Guinée-Bissau et espère une résolution de l’Onu pour une intervention militaire au Mali.
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