Le MNLA et le HCUA iront aux négociations avec une seule commission composée de 33 membres : 23 issus du MNLA et dix du HCUA. Une deuxième commission sera mise en place pour superviser le respect de l’accord cadre. Les deux parties ont également convenu d’unir leurs efforts pour la sécurisation et la lutte contre le narcoterrorisme dans le nord du Mali.
Dans la foulée, les deux mouvements ont remis au chef de la diplomatie burkinabè, un accord cadre relatif au règlement du conflit qui les oppose au gouvernent malien. Le MNLA et le HCUA demandent au gouvernement malien des signes d’engagement sincère, avant toute négociation. Parmi ces signes, on peut citer la libération des prisonniers politiques du MNLA détenus par Bamako, l’arrêt des pillages et exactions dont seraient responsables l’armée malienne et le retrait de toutes les forces de défense et de sécurité malienne du territoire de l’Azawad.
Les deux mouvements exigent que l’Etat du Mali reconnaissent que le territoire de l’Azawad est encore une zone de conflit, et surtout que le Mali reconnaisse le droit à l’autodétermination du peuple de l’Azawad.
Retrait de l'armée
Concernant les élections, le MNLA et le HCUA acceptent l’organisation de la présidentielle mais ils insistent sur le retrait de l’armée malienne du territoire de l’Azawad, tout en promettant de repositionner leurs troupes pour permettre le déploiement des soldats de la Minusma (Mission internationale de soutien au Mali).
Selon le porte-parole des deux mouvements, l’armée malienne n’a aucun rôle à jouer dans le système électoral et d’ajouter que, conformément à la dernière résolution des Nations unies, c’est la Minusma qui sera chargée de la sécurisation du processus électoral.
Le chef de la diplomatie burkinabè s’est réjoui de cet accord entre le MNLA et le HCUA. Selon Djibrill Bassolé, tous les autres points seront mis sur la table de discussion afin que les différentes parties trouvent des modalités du redéploiement de l’administration et de l’armée malienne à Kidal.
Dans la foulée, les deux mouvements ont remis au chef de la diplomatie burkinabè, un accord cadre relatif au règlement du conflit qui les oppose au gouvernent malien. Le MNLA et le HCUA demandent au gouvernement malien des signes d’engagement sincère, avant toute négociation. Parmi ces signes, on peut citer la libération des prisonniers politiques du MNLA détenus par Bamako, l’arrêt des pillages et exactions dont seraient responsables l’armée malienne et le retrait de toutes les forces de défense et de sécurité malienne du territoire de l’Azawad.
Les deux mouvements exigent que l’Etat du Mali reconnaissent que le territoire de l’Azawad est encore une zone de conflit, et surtout que le Mali reconnaisse le droit à l’autodétermination du peuple de l’Azawad.
Retrait de l'armée
Concernant les élections, le MNLA et le HCUA acceptent l’organisation de la présidentielle mais ils insistent sur le retrait de l’armée malienne du territoire de l’Azawad, tout en promettant de repositionner leurs troupes pour permettre le déploiement des soldats de la Minusma (Mission internationale de soutien au Mali).
Selon le porte-parole des deux mouvements, l’armée malienne n’a aucun rôle à jouer dans le système électoral et d’ajouter que, conformément à la dernière résolution des Nations unies, c’est la Minusma qui sera chargée de la sécurisation du processus électoral.
Le chef de la diplomatie burkinabè s’est réjoui de cet accord entre le MNLA et le HCUA. Selon Djibrill Bassolé, tous les autres points seront mis sur la table de discussion afin que les différentes parties trouvent des modalités du redéploiement de l’administration et de l’armée malienne à Kidal.
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