Cheikh Modibo Diarra a été accueilli à l’aéroport international d’Alger par son homologue Ahmed Ouyahia en présence du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale Abdelmalek Guenaizia et du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines Abdelkader Messahel, a rapporté l’agence APS.
Il est porteur d’un message du président de la République par intérim du Mali Diacounda Traoré au chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères.
Le Premier ministre malien s’entretiendra avec les responsables algériens de la situation au Mali et au Sahel ainsi que sur l’état de la coopération bilatérale et les perspectives de sa redynamisation et consolidation, selon des sources officielles.
A Bamako, on avait précédemment indiqué que le Premier ministre de transition irait jeudi en France pour rencontrer le président de transition Dioncounda Traoré, en séjour médical dans ce pays après son agression fin mai à Bamako.
L’Algérie a constamment fait part de sa disponibilité à oeuvrer avec les parties prenantes pour consolider une transition forte, consensuelle et légitime à Bamako, garantir la préservation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté du Mali, promouvoir une solution politique entre le gouvernement malien et les rebelles du nord qui privilégie d’abord la voie du dialogue et enfin d’engager toutes les capacités et les énergies dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, avait déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Amar Belani, dont le pays a chapeauté à plus d’une reprise des discussions de paix inter-touareg.
Depuis le début de la crise malienne, l’Algérie a adopté une ligne de non-ingérence chez son voisin, tout en martelant son attachement à l’intégrité territoriale de ce pays mais multiplie les contacts avec les pays concernés, dans la région et ailleurs, notamment la France et les Etats-Unis.
Dans la foulée d’un putsch le 22 mars à Bamako, l’immense région désertique du Nord du Mali est tombée aux mains du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg) et surtout du mouvement islamiste Ansar Dine et de son allié Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Dix-neuf otages étrangers seraient par ailleurs détenus dans la région, dont six Français et sept Algériens.
AFP
Il est porteur d’un message du président de la République par intérim du Mali Diacounda Traoré au chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères.
Le Premier ministre malien s’entretiendra avec les responsables algériens de la situation au Mali et au Sahel ainsi que sur l’état de la coopération bilatérale et les perspectives de sa redynamisation et consolidation, selon des sources officielles.
A Bamako, on avait précédemment indiqué que le Premier ministre de transition irait jeudi en France pour rencontrer le président de transition Dioncounda Traoré, en séjour médical dans ce pays après son agression fin mai à Bamako.
L’Algérie a constamment fait part de sa disponibilité à oeuvrer avec les parties prenantes pour consolider une transition forte, consensuelle et légitime à Bamako, garantir la préservation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté du Mali, promouvoir une solution politique entre le gouvernement malien et les rebelles du nord qui privilégie d’abord la voie du dialogue et enfin d’engager toutes les capacités et les énergies dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, avait déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Amar Belani, dont le pays a chapeauté à plus d’une reprise des discussions de paix inter-touareg.
Depuis le début de la crise malienne, l’Algérie a adopté une ligne de non-ingérence chez son voisin, tout en martelant son attachement à l’intégrité territoriale de ce pays mais multiplie les contacts avec les pays concernés, dans la région et ailleurs, notamment la France et les Etats-Unis.
Dans la foulée d’un putsch le 22 mars à Bamako, l’immense région désertique du Nord du Mali est tombée aux mains du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg) et surtout du mouvement islamiste Ansar Dine et de son allié Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Dix-neuf otages étrangers seraient par ailleurs détenus dans la région, dont six Français et sept Algériens.
AFP