Dans une lettre adressée au Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères de la République Française, pays hôte du siège de l'OIF, le ministère malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a exposé les raisons profondes de cette décision. Dans ce document, le Mali rappelle son rôle de membre fondateur de l'Agence de Coopération culturelle et technique (ACCT), l'ancêtre de l’OIF, et sa contribution à la construction et au renforcement de l’organisation. Le pays souligne également qu'il a toujours été un défenseur des valeurs et idéaux promus par la Francophonie.
Cependant, le gouvernement malien exprime son mécontentement vis-à-vis du comportement de l'OIF depuis l’avènement de la transition politique au Mali. Selon le communiqué, l'OIF n'a pas accompagné le pays dans la réalisation de ses aspirations légitimes. Au contraire, l’organisation a, selon le Mali, fait preuve d’une application sélective des sanctions et a ignoré la souveraineté du pays. Cette situation a conduit le gouvernement malien à remettre en question son appartenance à une organisation qui, selon lui, agit de manière incompatible avec les principes constitutionnels du pays.
Dans le communiqué officiel, le Mali affirme que son retrait de l’OIF est motivé par la nécessité de préserver la souveraineté de l'État et de défendre les choix souverains du peuple malien. Le pays souligne que ces principes guident l’action publique malienne et qu’il est impossible pour le Mali de rester membre d’une organisation qui ne respecte pas ces valeurs fondamentales.
Le gouvernement précise que, conformément à l’article 10 de la Charte de la Francophonie du 23 novembre 2005, cette décision de retrait a été prise avec un profond respect des engagements internationaux, mais dans une volonté de protéger les intérêts de la nation.
Cependant, le gouvernement malien exprime son mécontentement vis-à-vis du comportement de l'OIF depuis l’avènement de la transition politique au Mali. Selon le communiqué, l'OIF n'a pas accompagné le pays dans la réalisation de ses aspirations légitimes. Au contraire, l’organisation a, selon le Mali, fait preuve d’une application sélective des sanctions et a ignoré la souveraineté du pays. Cette situation a conduit le gouvernement malien à remettre en question son appartenance à une organisation qui, selon lui, agit de manière incompatible avec les principes constitutionnels du pays.
Dans le communiqué officiel, le Mali affirme que son retrait de l’OIF est motivé par la nécessité de préserver la souveraineté de l'État et de défendre les choix souverains du peuple malien. Le pays souligne que ces principes guident l’action publique malienne et qu’il est impossible pour le Mali de rester membre d’une organisation qui ne respecte pas ces valeurs fondamentales.
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