À peine l’ambassadeur du Mali en Mauritanie a eu le temps de transmettre à Bamako la protestation des autorités de ce pays voisin que le ministre mauritanien de la Défense a été reçu dans la capitale malienne.
Il a remis au chef de la junte, le colonel Assimi Goïta, un message officiel. Nouakchott proteste contre « les exactions répétées » subies par ses ressortissants dans des localités situées à la frontière entre les deux pays.
Une source sécuritaire mauritanienne apporte des précisions : Généralement, explique notre interlocuteur, à partir du mois de mars, les éleveurs mauritaniens en transhumance se retrouvent en territoire malien. Comme par le passé, poursuit la même source, ils ont très récemment été l’objets « d’exactions ». Aucun bilan précis des victimes civiles n’a été communiqué.
Comme responsable de ces exactions, une autre source sécuritaire mauritanienne pointe du doigt l’armée maliennes et les combattants du groupe russe Wagner, avant de terminer : « Nous n’allons plus rester les bras croisés ». Côté malien, il n'y a pas eu de réaction officielle, une volonté de faire baisser la tension ?
Il a remis au chef de la junte, le colonel Assimi Goïta, un message officiel. Nouakchott proteste contre « les exactions répétées » subies par ses ressortissants dans des localités situées à la frontière entre les deux pays.
Une source sécuritaire mauritanienne apporte des précisions : Généralement, explique notre interlocuteur, à partir du mois de mars, les éleveurs mauritaniens en transhumance se retrouvent en territoire malien. Comme par le passé, poursuit la même source, ils ont très récemment été l’objets « d’exactions ». Aucun bilan précis des victimes civiles n’a été communiqué.
Comme responsable de ces exactions, une autre source sécuritaire mauritanienne pointe du doigt l’armée maliennes et les combattants du groupe russe Wagner, avant de terminer : « Nous n’allons plus rester les bras croisés ». Côté malien, il n'y a pas eu de réaction officielle, une volonté de faire baisser la tension ?