A l’appel de partis politiques maliens, c'est une foule nombreuse qui s’est rassemblée devant le Monument de la Paix de Bamako. Des bougies ont été allumées pour un moment de recueillement. « Plus jamais ça », a-t-on entendu.
Recueillement et solidarité, c’est aussi le sens d’une autre rencontre ce week-end, dans la capitale malienne, entre jeunesse peule et dogon.
Le HCIM exprime sa solidarité avec les familles endeuillées
De son côté, le Haut conseil islamique du Mali - HCIM - a rencontré ce dimanche 16 juin la presse pour exprimer sa solidarité avec le village meurtri de Sobane, habité essentiellement de catholiques.
« Ce sont des atrocités que nous ne connaissons pas au Mali, selon Mamadou Diamoutani, secrétaire général du HCIM, c’est pourquoi on dit que ce n’est pas une question de chrétiens et de musulmans. C’est une question de Maliens... Nous sommes solidaires ».
Par ailleurs, c’est sous forme de lettre ouverte, qu’un élu du centre du Mali interpelle le président malien sur la situation de cette partie du pays. « C’est une lettre ouverte pour un cri du cœur, nous explique Harouna Sangaré, maire de la localité de Ouonkoro. Nous voulons que, dans un bref délai, les milices armées soient désarmées, de gré ou de force ».
Comme d’autres, il veut des actes concrets sur le terrain.
Recueillement et solidarité, c’est aussi le sens d’une autre rencontre ce week-end, dans la capitale malienne, entre jeunesse peule et dogon.
Le HCIM exprime sa solidarité avec les familles endeuillées
De son côté, le Haut conseil islamique du Mali - HCIM - a rencontré ce dimanche 16 juin la presse pour exprimer sa solidarité avec le village meurtri de Sobane, habité essentiellement de catholiques.
« Ce sont des atrocités que nous ne connaissons pas au Mali, selon Mamadou Diamoutani, secrétaire général du HCIM, c’est pourquoi on dit que ce n’est pas une question de chrétiens et de musulmans. C’est une question de Maliens... Nous sommes solidaires ».
Par ailleurs, c’est sous forme de lettre ouverte, qu’un élu du centre du Mali interpelle le président malien sur la situation de cette partie du pays. « C’est une lettre ouverte pour un cri du cœur, nous explique Harouna Sangaré, maire de la localité de Ouonkoro. Nous voulons que, dans un bref délai, les milices armées soient désarmées, de gré ou de force ».
Comme d’autres, il veut des actes concrets sur le terrain.
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