Ladite déclaration dont une copie a été envoyée à Xinhua, a été lue lors de ce mini sommet dans la capitale burkinabé.
Les signataires de cette déclaration ont salué l’ engagement du président burkinabé et ses pairs de la CEDEAO en faveur du Mali « dans sa noble mission de recouvrement des territoires occupés, de lutte pour le retour de la paix, la restauration et le respect des principes et valeurs humaines et démocratiques » .
Selon les participants maliens, « la présence des chefs d’ Etat du Groupe de contact à Ouagadougou est l’ expression concrète de leur engagement auprès du Mali pour une sortie de crise réussie » .
Ceux-ci se disent « ‘Conscients que l’ implication de la CEDEAO représente un gage certain permettant de réaliser des progrès structurels importants dans la marche globale vers la stabilité escomptée » .
A cet effet, ils ont recommandé « le retour complet à l’ ordre constitutionnel et le rétablissement du Président de la transition dans la plénitude de ses pouvoirs. La prorogation des mandats des Conseillers Nationaux et de ceux des membres du Conseil Economique, Social et Culturel « .
« La constitution d’ un gouvernement d’ union nationale; un appui financier conséquent de la Communauté Internationale ; un dialogue constructif avec les organes de la transition », ont-ils également recommandé.
Ces représentants de la classe politique et de la société civile maliennes ont soutenu que « ce forum se tient à un moment où le Mali a plus que jamais besoin de ses pairs pour juguler des questions institutionnelles, insurrectionnelles et sécuritaires qui menacent aujourd’ hui son existence ».
Ils ont « réaffirmé leur engagement au renforcement du dialogue inter-groupements qui a touché ces derniers jours les sensibilités les plus opposées, créé un environnement propice pour que les appuis de la CEDEAO, de l’ UA et des NU reposent sur un socle intérieur solide ».
« Nous sommes conscients que sans un exécutif fort et une armée réconciliée et renforcée par des appuis extérieurs, il serait illusoire d’ espérer amorcer une sortie de crise institutionnelle et le recouvrement des territoires sous occupation ».
Raison pour laquelle, ont-ils conclu, « Nous saluons les mesures pertinentes proposées par la CEDEAO et souhaitent un suivi rigoureux de ces dernières ».
Source :Autre Presse
Les signataires de cette déclaration ont salué l’ engagement du président burkinabé et ses pairs de la CEDEAO en faveur du Mali « dans sa noble mission de recouvrement des territoires occupés, de lutte pour le retour de la paix, la restauration et le respect des principes et valeurs humaines et démocratiques » .
Selon les participants maliens, « la présence des chefs d’ Etat du Groupe de contact à Ouagadougou est l’ expression concrète de leur engagement auprès du Mali pour une sortie de crise réussie » .
Ceux-ci se disent « ‘Conscients que l’ implication de la CEDEAO représente un gage certain permettant de réaliser des progrès structurels importants dans la marche globale vers la stabilité escomptée » .
A cet effet, ils ont recommandé « le retour complet à l’ ordre constitutionnel et le rétablissement du Président de la transition dans la plénitude de ses pouvoirs. La prorogation des mandats des Conseillers Nationaux et de ceux des membres du Conseil Economique, Social et Culturel « .
« La constitution d’ un gouvernement d’ union nationale; un appui financier conséquent de la Communauté Internationale ; un dialogue constructif avec les organes de la transition », ont-ils également recommandé.
Ces représentants de la classe politique et de la société civile maliennes ont soutenu que « ce forum se tient à un moment où le Mali a plus que jamais besoin de ses pairs pour juguler des questions institutionnelles, insurrectionnelles et sécuritaires qui menacent aujourd’ hui son existence ».
Ils ont « réaffirmé leur engagement au renforcement du dialogue inter-groupements qui a touché ces derniers jours les sensibilités les plus opposées, créé un environnement propice pour que les appuis de la CEDEAO, de l’ UA et des NU reposent sur un socle intérieur solide ».
« Nous sommes conscients que sans un exécutif fort et une armée réconciliée et renforcée par des appuis extérieurs, il serait illusoire d’ espérer amorcer une sortie de crise institutionnelle et le recouvrement des territoires sous occupation ».
Raison pour laquelle, ont-ils conclu, « Nous saluons les mesures pertinentes proposées par la CEDEAO et souhaitent un suivi rigoureux de ces dernières ».
Source :Autre Presse