Un peu plus de 55 000 enseignants observent le mot d’ordre de grève. Sur le terrain, que ce soit à Bamako ou à l’intérieur du pays, les écoles et établissements publics sont fermés et à certains endroits on peut voir une épaisse couche de poussière sur les tables et les bancs, dans les classes.
Adama Fomba est le porte-parole des onze syndicats qui ont déclenché le mot d’ordre de grève. Il nous rappelle les revendications : « L’octroi d’une prime de logement au personnel enseignant et aussi l’accès des enseignants fonctionnaires des collectivités aux services centraux de l’Etat ».
Ajoutons que les grévistes demandent également des primes pour la correction des examens de fin d’année. Mais pour le moment, on ne sait pas si ces examens auront lieu, à cause du risque d’assister à une année scolaire blanche, c’est-à-dire non validée pédagogiquement.
« Si rien n’est fait dans les jours à venir, c’est inévitable, une année blanche », ajoute Adama Fomba.
Côté gouvernement, on n’hésite pas à dire qu’il n’y a pas de cagnotte, mais que le dialogue reste ouvert...
Adama Fomba est le porte-parole des onze syndicats qui ont déclenché le mot d’ordre de grève. Il nous rappelle les revendications : « L’octroi d’une prime de logement au personnel enseignant et aussi l’accès des enseignants fonctionnaires des collectivités aux services centraux de l’Etat ».
Ajoutons que les grévistes demandent également des primes pour la correction des examens de fin d’année. Mais pour le moment, on ne sait pas si ces examens auront lieu, à cause du risque d’assister à une année scolaire blanche, c’est-à-dire non validée pédagogiquement.
« Si rien n’est fait dans les jours à venir, c’est inévitable, une année blanche », ajoute Adama Fomba.
Côté gouvernement, on n’hésite pas à dire qu’il n’y a pas de cagnotte, mais que le dialogue reste ouvert...