Dans ce centre d'appel, le téléphone n'arrête pas de sonner. Plus de 200 appels sont réceptionnés par jour par les opérateurs de police secours. Un dispositif qui a été simplifié et remanié depuis les derniers attentats.
Le commissaire Moussa Haïdara est le chef de ce centre de commandement police secours. Il explique : « C’est depuis les attentats du Radisson que nous avons réfléchi de notre côté : qu’est-ce qu’on peut faire pour améliorer la coordination entre nous ? Avant il y avait cinq numéros verts pour les forces de sécurité, là, le changement est qu’il y a un seul numéro vert unique ».
Dans un autre bâtiment, flambant neuf celui-ci, une myriade d'écrans retransmettent en direct les images de vidéo surveillance de la ville de Bamako. Bientôt, les agents de police secours déménageront ici pour mieux coordonner la surveillance et l'intervention. « Il s’agit d’alerter les forces de l’ordre sur le terrain, poursuit Moussa Haïdara, pour diminuer le temps de réponse et ce centre est habilité à les mettre en mouvement immédiatement, quelle que soit la corporation, gendarmerie, garde nationale, protection civile, police. »
Dans toute la ville de Bamako, des caméras surveillent désormais les voies les plus sensibles. Plusieurs centaines de dispositifs ont été installés en prévision du sommet Afrique-France.
Le commissaire Moussa Haïdara est le chef de ce centre de commandement police secours. Il explique : « C’est depuis les attentats du Radisson que nous avons réfléchi de notre côté : qu’est-ce qu’on peut faire pour améliorer la coordination entre nous ? Avant il y avait cinq numéros verts pour les forces de sécurité, là, le changement est qu’il y a un seul numéro vert unique ».
Dans un autre bâtiment, flambant neuf celui-ci, une myriade d'écrans retransmettent en direct les images de vidéo surveillance de la ville de Bamako. Bientôt, les agents de police secours déménageront ici pour mieux coordonner la surveillance et l'intervention. « Il s’agit d’alerter les forces de l’ordre sur le terrain, poursuit Moussa Haïdara, pour diminuer le temps de réponse et ce centre est habilité à les mettre en mouvement immédiatement, quelle que soit la corporation, gendarmerie, garde nationale, protection civile, police. »
Dans toute la ville de Bamako, des caméras surveillent désormais les voies les plus sensibles. Plusieurs centaines de dispositifs ont été installés en prévision du sommet Afrique-France.