Le leader de la coalition «Sukaly Sénégal » s’est encore rendu au Conseil Constitutionnel pour déposer un nouveau recours. Ce, pour contester l’invalidation de sa candidature à la Présidentielle de 2019. El Hadji Malick Gackou est convaincu qu’ il a le droit de revendiquer au Conseil constitutionnel la possibilité de régulariser ses doublons à concurrences, conformément à l’alinéa 6 de l’article 57 du Code électoral.
«Conformément à l’alinéa 6 de l’article 57 du Code électoral qui stipule assez clairement que les doublons doivent être régularisés à concurrence. Je pense que je suis dans mes droits de revendiquer au Conseil constitutionnel la possibilité de régulariser ces doublons. Et, se faisant de satisfaire au desidrata d’une manquant de 546 parrains que le Conseil me réclame », déclare le candidat rejeté à l’élection présidentielle de 2019.
Soulignant que son recours est fondé sur droit, le leader du Grand Parti dit être confiant qu’avec ce recours, il aura gain de cause parce que explique-t-il, « dans l’arrêté du Conseil constitutionnel, il n’ a été pas stipulé que la régularisation s’arrête une seule fois. Nous avons déjà régularisé une première fois, le Conseil nous a signalé des doublons avec les listes qui nous ont devancés, et la loi dit de manière très claire qu’il faut donner aux candidats l’autorisation de pouvoir changer ces doublons à concurrences».
Il souligne que le Conseil constitutionnel n’a pas invalidé la candidature de El Hadji Malick Gackou parce que dans la décision qui a été rendue, la candidature qui est invalidée concernait M. Malick Gackou alors que je suis le candiadit El Hadji Malick Gackou.
«Conformément à l’alinéa 6 de l’article 57 du Code électoral qui stipule assez clairement que les doublons doivent être régularisés à concurrence. Je pense que je suis dans mes droits de revendiquer au Conseil constitutionnel la possibilité de régulariser ces doublons. Et, se faisant de satisfaire au desidrata d’une manquant de 546 parrains que le Conseil me réclame », déclare le candidat rejeté à l’élection présidentielle de 2019.
Soulignant que son recours est fondé sur droit, le leader du Grand Parti dit être confiant qu’avec ce recours, il aura gain de cause parce que explique-t-il, « dans l’arrêté du Conseil constitutionnel, il n’ a été pas stipulé que la régularisation s’arrête une seule fois. Nous avons déjà régularisé une première fois, le Conseil nous a signalé des doublons avec les listes qui nous ont devancés, et la loi dit de manière très claire qu’il faut donner aux candidats l’autorisation de pouvoir changer ces doublons à concurrences».
Il souligne que le Conseil constitutionnel n’a pas invalidé la candidature de El Hadji Malick Gackou parce que dans la décision qui a été rendue, la candidature qui est invalidée concernait M. Malick Gackou alors que je suis le candiadit El Hadji Malick Gackou.