Mamadou Diop Decroix à fait sa première déclaration ce samedi, à Saint-Louis après liberation par la police. Le député membre de l’Initiative pour des élections démocratiques (IED) a déploré la répression de leur manifestation avec l’usage de grenades lacrymogènes. Il a réitéré la détermination de l’opposition à faire respecter les règles démocratiques au Sénégal.
Selon le leader d’And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (AJ/PADS), « c’est tout dans le tout. On a encore rien vu. Et c’est moi qui vous le dis avec ces gens là. Ils iront beaucoup plus loin que ce que nous avons vu. Parce que nous ne nous arrêterons pas. Sur quel base on va s’arrêter. Ceux qui parlent de la loi, eux s’ils étaient en Afrique du Sud, ils auraient soutenu l’Apartheid contre Nelson Mandéla ».
D’après Mamadou Diop Decroix, « partout dans le monde aujourd’hui, on parle de ce qui se passe au Sénégal. C’est ça l’objectif. Si la manifestation était autorisée, il n’y aurait pas eu cet immense succès. Vous voulez imposer vos propres régles à l’ensemble de l’écosystème ».
Selon le leader d’And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (AJ/PADS), « c’est tout dans le tout. On a encore rien vu. Et c’est moi qui vous le dis avec ces gens là. Ils iront beaucoup plus loin que ce que nous avons vu. Parce que nous ne nous arrêterons pas. Sur quel base on va s’arrêter. Ceux qui parlent de la loi, eux s’ils étaient en Afrique du Sud, ils auraient soutenu l’Apartheid contre Nelson Mandéla ».
D’après Mamadou Diop Decroix, « partout dans le monde aujourd’hui, on parle de ce qui se passe au Sénégal. C’est ça l’objectif. Si la manifestation était autorisée, il n’y aurait pas eu cet immense succès. Vous voulez imposer vos propres régles à l’ensemble de l’écosystème ».