Mamadou Lamine Dianté, président du Haut conseil du dialogue social (Hcds), appelle à une ouverture plus large de l’institution qu’il dirige. Nommé en octobre dernier en remplacement d’Innocence Ntap Ndiaye, il estime que le Hcds doit élargir son champ d’action au-delà des acteurs traditionnels.
« Le Hcds se doit d’être plus ouvert aux citoyens, au-delà des mandants tripartites », déclare-t-il, avant d’insister sur la nécessité de renforcer et d’amplifier son rayonnement international.
M. Dianté encourage également les mandants à s’organiser en entités plus robustes pour relever les défis actuels. « Les confédérations patronales s’y attellent déjà, et c’est à encourager », souligne-t-il dans les colonnes du journal L’Observateur.
Cependant, il lance un appel aux organisations de travailleurs pour qu’elles aillent au-delà des unités d’actions et s’adaptent aux mutations en cours. Il leur demande d’adopter davantage les vertus de la démocratie, à l’image de l’exécutif, qui se soumet régulièrement à des élections présidentielles.
« En faisant ainsi un bon usage des vertus de la démocratie sociale, ces organisations de travailleurs et d’employeurs identifieront plus clairement les véritables enjeux de l’heure et susciteront autour de ces derniers une adhésion de tous les acteurs du monde du travail en pensant aux générations futures », explique-t-il.
Dianté insiste sur la nécessité pour l’institution tripartite de jouer un rôle avant-gardiste et d’anticiper les mutations nécessaires pour répondre efficacement aux défis du monde du travail. « Sous ce rapport, au risque même de faire face à des résistances, l’institution se doit de jouer pleinement son rôle d’anticipation », martèle-t-il.
Le président du Hcds veut insuffler un vent de renouveau dans le dialogue social au Sénégal, en misant sur des regroupements plus solides, une gouvernance démocratique et une ouverture accrue vers les citoyens. Cette dynamique, selon lui, doit permettre à l’institution de relever les défis économiques et sociaux tout en préparant l’avenir.
« Le Hcds se doit d’être plus ouvert aux citoyens, au-delà des mandants tripartites », déclare-t-il, avant d’insister sur la nécessité de renforcer et d’amplifier son rayonnement international.
M. Dianté encourage également les mandants à s’organiser en entités plus robustes pour relever les défis actuels. « Les confédérations patronales s’y attellent déjà, et c’est à encourager », souligne-t-il dans les colonnes du journal L’Observateur.
Cependant, il lance un appel aux organisations de travailleurs pour qu’elles aillent au-delà des unités d’actions et s’adaptent aux mutations en cours. Il leur demande d’adopter davantage les vertus de la démocratie, à l’image de l’exécutif, qui se soumet régulièrement à des élections présidentielles.
« En faisant ainsi un bon usage des vertus de la démocratie sociale, ces organisations de travailleurs et d’employeurs identifieront plus clairement les véritables enjeux de l’heure et susciteront autour de ces derniers une adhésion de tous les acteurs du monde du travail en pensant aux générations futures », explique-t-il.
Dianté insiste sur la nécessité pour l’institution tripartite de jouer un rôle avant-gardiste et d’anticiper les mutations nécessaires pour répondre efficacement aux défis du monde du travail. « Sous ce rapport, au risque même de faire face à des résistances, l’institution se doit de jouer pleinement son rôle d’anticipation », martèle-t-il.
Le président du Hcds veut insuffler un vent de renouveau dans le dialogue social au Sénégal, en misant sur des regroupements plus solides, une gouvernance démocratique et une ouverture accrue vers les citoyens. Cette dynamique, selon lui, doit permettre à l’institution de relever les défis économiques et sociaux tout en préparant l’avenir.