Mamadou Ndiaye est persuadé que le Président Wade a été abusé par ses propres militants, qui lui avaient fait comprendre jusqu’à la dernière minute qu’il allait remporter la victoire sur Macky Sall.
D’un côté, Bara Gaye, patron de l’Ujtl, promettait un million de jeunes électeurs et de l’autre côté, Aïda Mbodj, avec sa campagne « ma carte, ma caution », faisait croire à Wade qu’un million de femmes étaient acquises à sa cause.
Les responsables libéraux de premier plan qui ont reçu des millions pour battre campagne en faveur de Wade, ont été également épinglés par le tonitruant coordonnateur des « Wadistes ». « Des gens ont trompé le parti (Pds) et j’ai toujours dénoncé ceux qui se servent du parti et qui ne servent pas le parti », a-t-il accusé.
Dorénavant, ajoute-t-il, Mamadou Ndiaye dit sa ferme volonté de ne plus jouer les seconds rôles et compte se battre pour gagner sa place sur la liste du Pds pour les élections législatives. Ayant intégré le parti en 1995, Mamadou Ndiaye souhaite une restructuration de sa formation et exige la responsabilisation de ceux qui ont toujours travaillé dans l’ombre, sans moyens.
Source « L’Observateur »
D’un côté, Bara Gaye, patron de l’Ujtl, promettait un million de jeunes électeurs et de l’autre côté, Aïda Mbodj, avec sa campagne « ma carte, ma caution », faisait croire à Wade qu’un million de femmes étaient acquises à sa cause.
Les responsables libéraux de premier plan qui ont reçu des millions pour battre campagne en faveur de Wade, ont été également épinglés par le tonitruant coordonnateur des « Wadistes ». « Des gens ont trompé le parti (Pds) et j’ai toujours dénoncé ceux qui se servent du parti et qui ne servent pas le parti », a-t-il accusé.
Dorénavant, ajoute-t-il, Mamadou Ndiaye dit sa ferme volonté de ne plus jouer les seconds rôles et compte se battre pour gagner sa place sur la liste du Pds pour les élections législatives. Ayant intégré le parti en 1995, Mamadou Ndiaye souhaite une restructuration de sa formation et exige la responsabilisation de ceux qui ont toujours travaillé dans l’ombre, sans moyens.
Source « L’Observateur »