«Je pars la tête haute». C’est ainsi que Mamadou Sakho a bouclé cet été son aventure avec le PSG, son club formateur, pour rejoindre Liverpool. «Mon désir premier est de continuer à progresser puis d’atteindre les objectifs que je me suis fixés depuis le début de ma carrière. C’est la carrière qui m’a dicté ce choix-là. Je l’assume sans regret», explique-t-il ce vendredi dans L'Equipe.
Aucun regret, certes, sauf peut-être sur le temps de jeu qui lui a été alloué la saison dernière dans le club de la capitale : «Vous savez, il y a des choses qui se passent dans un club dont je ne parlerai pas. Je dirai juste, contrairement à ce que j’ai pu entendre, que la concurrence ne m’a jamais fait peur. Moi, j’ai grandi dans le combat. À Liverpool, vous croyez qu’il n’y aura pas de concurrence à mon poste ?»
Mais plus que son statut fragile à Paris, c'est son avenir en équipe de France qui a incité Sakho à changer d'air : «Je prends mes décisions en fonction de mes convictions et de mes choix de carrière. Laurent Blanc disait lui-même, à l’époque où il était sélectionneur –et il me l’a confirmé–, qu’un joueur devait faire ses choix par rapport à l’équipe nationale. C’est ce qui m’arrive. Cela fait quatre ans que je suis en équipe de France et la seule fois où je n’ai pas été retenu, c’est pendant l’Euro 2012. Je l’ai encore en travers de la gorge mais ça m’a fait grandir. Je voulais juste que ça ne se reproduise pas...»
Aucun regret, certes, sauf peut-être sur le temps de jeu qui lui a été alloué la saison dernière dans le club de la capitale : «Vous savez, il y a des choses qui se passent dans un club dont je ne parlerai pas. Je dirai juste, contrairement à ce que j’ai pu entendre, que la concurrence ne m’a jamais fait peur. Moi, j’ai grandi dans le combat. À Liverpool, vous croyez qu’il n’y aura pas de concurrence à mon poste ?»
Mais plus que son statut fragile à Paris, c'est son avenir en équipe de France qui a incité Sakho à changer d'air : «Je prends mes décisions en fonction de mes convictions et de mes choix de carrière. Laurent Blanc disait lui-même, à l’époque où il était sélectionneur –et il me l’a confirmé–, qu’un joueur devait faire ses choix par rapport à l’équipe nationale. C’est ce qui m’arrive. Cela fait quatre ans que je suis en équipe de France et la seule fois où je n’ai pas été retenu, c’est pendant l’Euro 2012. Je l’ai encore en travers de la gorge mais ça m’a fait grandir. Je voulais juste que ça ne se reproduise pas...»