Au cours d’un point de presse qui a bouclé la journée de l’ouverture du bureau de l’Assemblée parlementaire francophone, le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, M. Mamadou Seck est largement revenu sur le sens du thème de cette rencontre qui porte sur les cinquante (50) ans après les indépendances, dix (10) ans après Bamako : la situation de la démocratie parlementaire dans l’espace francophone ».
Selon Mamadou Seck, ce thème va de soi parce que «50 ans après avoir vécu nos indépendances, nous devons faire une évaluation ». Selon lui, les pays ont vécu des fortunes diverses au cours de ces années d’indépendance. Et c’est la raison pour laquelle, il est bon que les Parlementaires de l’espace francophone se penchent sur ce sujet pour pouvoir apporter des solutions ou des voies de sortie. Car d’autres pays ont connu des situations très difficiles. C’est le cas du Niger.
Selon le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, il y a beaucoup d’expériences à l’Assemblée du Parlement francophone. Et cette réflexion va permettre de voir ce qui se passe dans d’autres pays. Ce qui, selon Mamadou Seck permettra de renforcer la démocratie dans les différents pays de l’espace francophone pour éviter des problèmes comme celui qui s’est produit au Niger –destitution du Parlement et de la Cour constitutionnelle. D’ailleurs, il reste très optimiste quant à l’intérêt de ce thème qui «nous permettra » au cours de cette rencontre des idées pour mieux penser la démocratie. Car pour lui, le Parlement reste la vigie de la démocratie.
Le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal a, encore réitéré sur la symbolique que constituait cette rencontre à Dakar de l’APF. «Cette rencontre est symbolique à plus d’un titre », a-t-il expliqué parce que cette assemblée « réunit les trois présidents sénégalais ; Senghor parce que son ombre a plané tout au long de la journée ; Abdou Diouf, parce qu’il sera présent à cette rencontre et Me Wade pour avoir accepté de l’accueillir ».
Selon Mamadou Seck, ce thème va de soi parce que «50 ans après avoir vécu nos indépendances, nous devons faire une évaluation ». Selon lui, les pays ont vécu des fortunes diverses au cours de ces années d’indépendance. Et c’est la raison pour laquelle, il est bon que les Parlementaires de l’espace francophone se penchent sur ce sujet pour pouvoir apporter des solutions ou des voies de sortie. Car d’autres pays ont connu des situations très difficiles. C’est le cas du Niger.
Selon le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, il y a beaucoup d’expériences à l’Assemblée du Parlement francophone. Et cette réflexion va permettre de voir ce qui se passe dans d’autres pays. Ce qui, selon Mamadou Seck permettra de renforcer la démocratie dans les différents pays de l’espace francophone pour éviter des problèmes comme celui qui s’est produit au Niger –destitution du Parlement et de la Cour constitutionnelle. D’ailleurs, il reste très optimiste quant à l’intérêt de ce thème qui «nous permettra » au cours de cette rencontre des idées pour mieux penser la démocratie. Car pour lui, le Parlement reste la vigie de la démocratie.
Le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal a, encore réitéré sur la symbolique que constituait cette rencontre à Dakar de l’APF. «Cette rencontre est symbolique à plus d’un titre », a-t-il expliqué parce que cette assemblée « réunit les trois présidents sénégalais ; Senghor parce que son ombre a plané tout au long de la journée ; Abdou Diouf, parce qu’il sera présent à cette rencontre et Me Wade pour avoir accepté de l’accueillir ».