Dans une longue contribution reçue à la rédaction de PressAfrik.com, M. Kane fait constater que « sans renier le mérite immense de son élite, Le Jëf jël sans Talla Sylla perd son âme tant il en est l’inspirateur et la sève nourricière. Je précise pour autant que le parti, bien tenu par le vice –président de l’époque en l’occurrence Yoro Ba et la direction exécutive sous la tutelle de l’infatigable Ndiaga Sylla a admirablement fonctionné en dépit des longues absences de son président du territoire national, mais les positions étaient harmonisées et la confiance bien établie ».
Même si Mamadou kane a reconnu le mérite de l’actuel patron du parti, il souligne que « Yoro Ba, malgré ses qualités intrinsèques indéniables, le respect déférent et fraternel que je lui dois et que j’élargis à tout militant du parti, ne dirige à présent qu’une coquille vide. Il ne peut diriger un parti délesté de ses responsables les plus emblématiques, les plus aguerris, les plus engagés qui ont tout sacrifié pour le JËF JËL et s’entourer de novices ou revenants sans envergure au risque de se mettre à dos les militants de la base ».
Et c’est le parti dans son ensemble qui doit chercher les solutions à la crise actuelle car, « notre responsabilité dans cette crise est certes disproportionnée, mais partagée. La faute est collective et la solution sera collective ou ne sera pas. Tous ceux qui se réclament du parti devront se retrouver pour laver le linge sale en famille et trouver les décisions les meilleures pour ce que nous avons en commun : le JËF JËL ».
Même si Mamadou kane a reconnu le mérite de l’actuel patron du parti, il souligne que « Yoro Ba, malgré ses qualités intrinsèques indéniables, le respect déférent et fraternel que je lui dois et que j’élargis à tout militant du parti, ne dirige à présent qu’une coquille vide. Il ne peut diriger un parti délesté de ses responsables les plus emblématiques, les plus aguerris, les plus engagés qui ont tout sacrifié pour le JËF JËL et s’entourer de novices ou revenants sans envergure au risque de se mettre à dos les militants de la base ».
Et c’est le parti dans son ensemble qui doit chercher les solutions à la crise actuelle car, « notre responsabilité dans cette crise est certes disproportionnée, mais partagée. La faute est collective et la solution sera collective ou ne sera pas. Tous ceux qui se réclament du parti devront se retrouver pour laver le linge sale en famille et trouver les décisions les meilleures pour ce que nous avons en commun : le JËF JËL ».
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