A près de 10 mois de la prochaine élection présidentielle de 2012, le journaliste et analyste politique, Mame Less Camara diagnostique les principales faiblesses de Bennoo et du pouvoir sortant.
Selon lui, pendant longtemps le pouvoir a pensé avoir réglé les problèmes de la candidature avec l’annonce précoce du candidat sortant, le président Abdoulaye Wade. Mais, maintenant, ils se sont rendu compte qu’ils sont rattrapés par une histoire insuffisamment réglée.
Par exemple, indique-t-il, avec Idrissa Seck, insuffisamment, réintégré dans le parti, avec sa prétention de devenir le 4e président de la république.
L’analyste politique, qui était hier l’invité de l’émission dominicale de Walf/Tv, Opinion, explique qu’aujourd’hui, la contestation se trouve à l’intérieur du PDS. Surtout avec Aminata Tall, ancien secrétaire général de la présidence dont on ne connaît pas la position. D’après le journaliste formateur, déjà le fait qu’elle ne soit pas aussi massivement en faveur de Wade peut créer des problèmes.
Ces problèmes ne sont pas l’apanage de la majorité présidentielle. Mame Less indique dans l’opposition, il y a une majorité de leaders qui sont pour la candidature unique. Mais cette position majoritaire n’a pas encore pu se traduire dans les faits par la désignation d’un candidat unique.
A l’en croire, les analyses différent et il y a un discours de convenance consistant à dire que ce que tout le monde dit, c’est cela la vérité.
Puisque selon lui, il y a de plus en plus de déclaration pour le candidat unique alors que certains partis qui s’affichent pour le candidat unique bouillonnent de contradictions sur cette question-là.
C’est la raison pour laquelle le politologue déclare que «nous sommes entre deux groupes principaux, Bennoo et le pouvoir sortant qui sont traversés par des contradictions internes.
Ce qui laisse la porte ouverte aux autres prétendants.
A son avis, il y a la Société civile qui se prend de plus en plus en main et qui peut y croire puisqu’au fond, ceux qui élisent le président, c’est moins les militants au plan numérique d’un parti que des citoyens n’appartenant pas à un parti.
Selon lui, pendant longtemps le pouvoir a pensé avoir réglé les problèmes de la candidature avec l’annonce précoce du candidat sortant, le président Abdoulaye Wade. Mais, maintenant, ils se sont rendu compte qu’ils sont rattrapés par une histoire insuffisamment réglée.
Par exemple, indique-t-il, avec Idrissa Seck, insuffisamment, réintégré dans le parti, avec sa prétention de devenir le 4e président de la république.
L’analyste politique, qui était hier l’invité de l’émission dominicale de Walf/Tv, Opinion, explique qu’aujourd’hui, la contestation se trouve à l’intérieur du PDS. Surtout avec Aminata Tall, ancien secrétaire général de la présidence dont on ne connaît pas la position. D’après le journaliste formateur, déjà le fait qu’elle ne soit pas aussi massivement en faveur de Wade peut créer des problèmes.
Ces problèmes ne sont pas l’apanage de la majorité présidentielle. Mame Less indique dans l’opposition, il y a une majorité de leaders qui sont pour la candidature unique. Mais cette position majoritaire n’a pas encore pu se traduire dans les faits par la désignation d’un candidat unique.
A l’en croire, les analyses différent et il y a un discours de convenance consistant à dire que ce que tout le monde dit, c’est cela la vérité.
Puisque selon lui, il y a de plus en plus de déclaration pour le candidat unique alors que certains partis qui s’affichent pour le candidat unique bouillonnent de contradictions sur cette question-là.
C’est la raison pour laquelle le politologue déclare que «nous sommes entre deux groupes principaux, Bennoo et le pouvoir sortant qui sont traversés par des contradictions internes.
Ce qui laisse la porte ouverte aux autres prétendants.
A son avis, il y a la Société civile qui se prend de plus en plus en main et qui peut y croire puisqu’au fond, ceux qui élisent le président, c’est moins les militants au plan numérique d’un parti que des citoyens n’appartenant pas à un parti.