Dans les grandes villes du Maroc, lundi, les taxis roulaient, ainsi que les autobus, et les trains étaient à l'heure : la grève des transports promise par le parti de l'Istiqlal n'a été que très peu suivie.
L'épreuve de force engagée par le grand parti conservateur avec le gouvernement du Premier ministre Abdelilah Benkirane peut donc apparaître, pour l'instant, comme un échec.
Pourtant, la veille, l'Istiqlal et ses alliés avaient réuni au moins 2 000 manifestants dans les rues de la capitale Rabat, aux cris de « Benkirane dégage ». Mais faire grève, c'était une étape que beaucoup n'étaient manifestement pas encore prêts à franchir.
Depuis qu'ils ont claqué la porte du gouvernement, en juillet dernier, les conservateurs ne ratent pas une occasion d'attaquer les islamistes du PJD, leurs anciens partenaires de la coalition issue du scrutin de novembre 2011.
Même s'il n'est pas à la hauteur de ses espérances, ce premier bras de fer est simplement une manière, pour l'Istiqlal, de s'installer fermement dans l'opposition.
Source : Rfi.fr
L'épreuve de force engagée par le grand parti conservateur avec le gouvernement du Premier ministre Abdelilah Benkirane peut donc apparaître, pour l'instant, comme un échec.
Pourtant, la veille, l'Istiqlal et ses alliés avaient réuni au moins 2 000 manifestants dans les rues de la capitale Rabat, aux cris de « Benkirane dégage ». Mais faire grève, c'était une étape que beaucoup n'étaient manifestement pas encore prêts à franchir.
Depuis qu'ils ont claqué la porte du gouvernement, en juillet dernier, les conservateurs ne ratent pas une occasion d'attaquer les islamistes du PJD, leurs anciens partenaires de la coalition issue du scrutin de novembre 2011.
Même s'il n'est pas à la hauteur de ses espérances, ce premier bras de fer est simplement une manière, pour l'Istiqlal, de s'installer fermement dans l'opposition.
Source : Rfi.fr