
Parmi les 300 détenus, 38 ont formulé des demandes pour être transférés au Sénégal afin de purger le reste de leur peine dans leur pays d'origine. Ces détenus sont répartis dans plusieurs villes marocaines, telles que Bouizakarne, Es-Smara, Kénitra, Khouribga, Laâyoune, Nador et Safi Central. Le document reçu du Bureau de l'information et de la communication du gouvernement (BIG-GOUV) précise qu’une dizaine d’entre eux purgent des peines allant de trois à vingt-cinq ans de prison.
Les retours de Sénégalais emprisonnés au Maroc connaissent une nette augmentation en 2025. D’après les chiffres du BIG-GOUV, 180 Sénégalais ont déjà été rapatriés depuis le début de l'année 2025, sur un total de 184, soit près de 98 % des retours enregistrés cette année. Ces retours s’inscrivent dans le cadre de la convention de 2004 entre le Sénégal et le Maroc, qui vise à faciliter le transfèrement des détenus et leur réinsertion sociale dans leur pays d'origine.
L'accord entre le Sénégal et le Maroc sur l'assistance aux détenus et le transfèrement des personnes condamnées revêt une importance particulière, selon le BIG-GOUV. Cette convention a été mise en place pour favoriser la réinsertion sociale des Sénégalais en conflit avec la loi à l’étranger. Le 22 janvier 2025, le Conseil des ministres du Sénégal a examiné un projet de décret permettant au président de la République de ratifier cette convention. Le texte a été adopté le 3 mars 2025 par la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale et sera examiné en séance plénière par les députés le mardi 11 mars.
Les consulats sénégalais à Casablanca et à Dakhla jouent un rôle important dans le suivi des dossiers judiciaires de ces détenus. Selon le document du BIG-GOUV, le consulat de Casablanca suit les dossiers de 160 ressortissants sénégalais, tandis que celui de Dakhla s'occupe de 139 autres. Les chiffres relatifs aux rapatriements de Sénégalais en provenance de plusieurs pays en 2024 montrent que le Maroc représente une part significative des retours. En effet, sur les 3 004 Sénégalais rapatriés, 1 115 provenaient du Maroc, soit 37,16 % des retours enregistrés cette année-là.
Les autorités sénégalaises et marocaines continuent de travailler sur le transfèrement des détenus sénégalais emprisonnés au Maroc. Cette collaboration bilatérale, rendue possible grâce à la convention de 2004, permet d’assurer la réinsertion sociale des Sénégalais confrontés à des problèmes juridiques dans le royaume chérifien, tout en facilitant leur réadaptation à la vie civile dans leur pays d'origine.
Les retours de Sénégalais emprisonnés au Maroc connaissent une nette augmentation en 2025. D’après les chiffres du BIG-GOUV, 180 Sénégalais ont déjà été rapatriés depuis le début de l'année 2025, sur un total de 184, soit près de 98 % des retours enregistrés cette année. Ces retours s’inscrivent dans le cadre de la convention de 2004 entre le Sénégal et le Maroc, qui vise à faciliter le transfèrement des détenus et leur réinsertion sociale dans leur pays d'origine.
L'accord entre le Sénégal et le Maroc sur l'assistance aux détenus et le transfèrement des personnes condamnées revêt une importance particulière, selon le BIG-GOUV. Cette convention a été mise en place pour favoriser la réinsertion sociale des Sénégalais en conflit avec la loi à l’étranger. Le 22 janvier 2025, le Conseil des ministres du Sénégal a examiné un projet de décret permettant au président de la République de ratifier cette convention. Le texte a été adopté le 3 mars 2025 par la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale et sera examiné en séance plénière par les députés le mardi 11 mars.
Les consulats sénégalais à Casablanca et à Dakhla jouent un rôle important dans le suivi des dossiers judiciaires de ces détenus. Selon le document du BIG-GOUV, le consulat de Casablanca suit les dossiers de 160 ressortissants sénégalais, tandis que celui de Dakhla s'occupe de 139 autres. Les chiffres relatifs aux rapatriements de Sénégalais en provenance de plusieurs pays en 2024 montrent que le Maroc représente une part significative des retours. En effet, sur les 3 004 Sénégalais rapatriés, 1 115 provenaient du Maroc, soit 37,16 % des retours enregistrés cette année-là.
Les autorités sénégalaises et marocaines continuent de travailler sur le transfèrement des détenus sénégalais emprisonnés au Maroc. Cette collaboration bilatérale, rendue possible grâce à la convention de 2004, permet d’assurer la réinsertion sociale des Sénégalais confrontés à des problèmes juridiques dans le royaume chérifien, tout en facilitant leur réadaptation à la vie civile dans leur pays d'origine.
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