« L'OM confirme le départ de Mamadou Niang pour Fenerbahce ce samedi soir à l'issue du match à Valenciennes. »
Les champions de France ont officialisé ce samedi soir le départ de Mamadou Niang pour la Turquie et Fenerbahçe. Didier Deschamps a eu beau tout tenter pour retenir son buteur sénégalais, rien n'y a fait. On savait que ce dernier jouerait certainement son ultime match avec les Phocéens face à Valenciennes, c'est désormais officiel. Après 5 ans passés dans les rangs olympiens, il a décidé de tenter un nouveau défi sportif et a profité d'un dernier contrat en or.
Cinq ans et 71 buts en L1
« Il laissera une belle empreinte chez les supporters et au sein du club par son professionnalisme et sa sympathie » peut-on lire sur le site officiel de l'Olympique de Marseille. Avec 71 buts inscrits en 5 ans en championnat, il est sûr que l'ancien Strasbourgeois a clairement marqué l'empreinte de l'attaque phocéenne, devenant au fil des années la principale arme offensive du club, celui sur qui il pouvait toujours compter. Ce n'est pour rien qu'il avait été nommé capitaine et a été partie prenante du doublé Coupe de la Ligue/championnat la saison dernière.
Un salaire mensuel brut de 314 millions FCFA / mois !
Le transfert est estimé aux alentours de sept ou huit millions d'euros (plus divers bonus). Le Sénégalais avait déjà donné son feu vert à un contrat de quatre ans et un salaire de l'ordre de 480 000 euros brut par mois soit (314 000 000 millions FCFA) (ndlr : l'ex-Troyen perçoit actuellement 320 000 euros par mois sur la Canebière soit 209 millions FCFA). On évoque aussi une prime à la signature d'un million d'euros pour l'ancien Messin et Strasbourgeois.
Déjà avec Mamadou Niang, l'OM cherchait un attaquant de classe internationale pour briller en Ligue 1 et en Europe. Désormais, sa tâche va être encore plus compliquée. Il va donc falloir s'activer sur le marché des transferts. Sans compter le très probable départ d'Hatem Ben Arfa vers Newcastle qui va rendre le secteur offensif olympien particulièrement fragile. La crise couve à l'OM si les dirigeants ne réagissent pas très vite et ne font pas venir du monde du côté de la Canebière.
Les champions de France ont officialisé ce samedi soir le départ de Mamadou Niang pour la Turquie et Fenerbahçe. Didier Deschamps a eu beau tout tenter pour retenir son buteur sénégalais, rien n'y a fait. On savait que ce dernier jouerait certainement son ultime match avec les Phocéens face à Valenciennes, c'est désormais officiel. Après 5 ans passés dans les rangs olympiens, il a décidé de tenter un nouveau défi sportif et a profité d'un dernier contrat en or.
Cinq ans et 71 buts en L1
« Il laissera une belle empreinte chez les supporters et au sein du club par son professionnalisme et sa sympathie » peut-on lire sur le site officiel de l'Olympique de Marseille. Avec 71 buts inscrits en 5 ans en championnat, il est sûr que l'ancien Strasbourgeois a clairement marqué l'empreinte de l'attaque phocéenne, devenant au fil des années la principale arme offensive du club, celui sur qui il pouvait toujours compter. Ce n'est pour rien qu'il avait été nommé capitaine et a été partie prenante du doublé Coupe de la Ligue/championnat la saison dernière.
Un salaire mensuel brut de 314 millions FCFA / mois !
Le transfert est estimé aux alentours de sept ou huit millions d'euros (plus divers bonus). Le Sénégalais avait déjà donné son feu vert à un contrat de quatre ans et un salaire de l'ordre de 480 000 euros brut par mois soit (314 000 000 millions FCFA) (ndlr : l'ex-Troyen perçoit actuellement 320 000 euros par mois sur la Canebière soit 209 millions FCFA). On évoque aussi une prime à la signature d'un million d'euros pour l'ancien Messin et Strasbourgeois.
Déjà avec Mamadou Niang, l'OM cherchait un attaquant de classe internationale pour briller en Ligue 1 et en Europe. Désormais, sa tâche va être encore plus compliquée. Il va donc falloir s'activer sur le marché des transferts. Sans compter le très probable départ d'Hatem Ben Arfa vers Newcastle qui va rendre le secteur offensif olympien particulièrement fragile. La crise couve à l'OM si les dirigeants ne réagissent pas très vite et ne font pas venir du monde du côté de la Canebière.