Les audits effectués dans certains secteurs publics continuent de révéler leurs contenus. Le Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD) n’a pas échappé à la règle. La masse salariale dans ce centre a pris l’ascenseur, si on se fie à la parution du journal Source A.
Une masse salariale qui s'élève à 1 076 999 268 FCFA, selon le versement formulé à l’endroit du trésor public par l’agent-comptable Mamadou Ibrahima Ly.
Cette situation s’explique par plusieurs facteurs, dont des « contrats spéciaux à l’image de celui signé en faveur d’un certain O. Diop, expert en sécurité informatique, pour la somme de 800 000 FCFA par mois ». Mais ce ne sont pas les seuls bénéficiaires ; « certains responsables syndicaux seraient nommés conseillers du directeur du COUD ». Quant à leurs salaires, le journal laisse le soin à « l’audit interne réclamé par la nouvelle équipe et qui est en cours de finalisation ».
Selon certaines indiscrétions, « on pointe du doigt une pléthore de recrutements, un organigramme singulier, la création de départements avec des chefs ayant rang de directeur et une multitude de chefs de services », rapporte le journal.
Ce n’est pas tout. Le journal ajoute qu’il y a aussi « un trop-plein de contrôleurs dans les restaurants universitaires ». Là où il y avait « 4 contrôleurs, ils sont désormais 10 dans les restaurants de l’ESP, de l’ENSEPT et de la FASTEF, et plus de 20 dans les grands restaurants comme Central, Argentin ou Self ».
Une masse salariale qui s'élève à 1 076 999 268 FCFA, selon le versement formulé à l’endroit du trésor public par l’agent-comptable Mamadou Ibrahima Ly.
Cette situation s’explique par plusieurs facteurs, dont des « contrats spéciaux à l’image de celui signé en faveur d’un certain O. Diop, expert en sécurité informatique, pour la somme de 800 000 FCFA par mois ». Mais ce ne sont pas les seuls bénéficiaires ; « certains responsables syndicaux seraient nommés conseillers du directeur du COUD ». Quant à leurs salaires, le journal laisse le soin à « l’audit interne réclamé par la nouvelle équipe et qui est en cours de finalisation ».
Selon certaines indiscrétions, « on pointe du doigt une pléthore de recrutements, un organigramme singulier, la création de départements avec des chefs ayant rang de directeur et une multitude de chefs de services », rapporte le journal.
Ce n’est pas tout. Le journal ajoute qu’il y a aussi « un trop-plein de contrôleurs dans les restaurants universitaires ». Là où il y avait « 4 contrôleurs, ils sont désormais 10 dans les restaurants de l’ESP, de l’ENSEPT et de la FASTEF, et plus de 20 dans les grands restaurants comme Central, Argentin ou Self ».
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